Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ces contes si châtiés furent écrits, contre toute apparence, dans l'anxiété et la fièvre. Gravement atteint déjà par le départ au loin de Nathaniel...
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Résumé
Ces contes si châtiés furent écrits, contre toute apparence, dans l'anxiété et la fièvre. Gravement atteint déjà par le départ au loin de Nathaniel Hawthorne, l'irremplaçable confident d'hier, Melville assiste maintenant au naufrage de " Pierre ou les ambiguïtés " sur les récifs de la morale puritaine.
Devra-t-il, pour faire vivre les siens, étouffer sa pensée et renier son langage ? Endiguer le flot torrentiel qui a porté " Moby Dick " puis " Pierre " en zone interdite ?
Sa pensée restera intacte. Mais une conversion s'opère chez lui pendant la genèse des Contes. Jean-Jacques Mayoux l'a formulé on ne peut mieux : " Il semble que son langage ait intégré le silence et qu'il lui donne une puissance toute nouvelle. "
Voué à la retenue du discours en même temps qu'à l'effacement professionnel, il ne se veut plus l'huissier des ambiguïtés qui tissent le monde. Si Bartleby est " un homme du rebut " (tout comme l'auteur de " Pierre "), est-ce la faute du scribe - plus indéchiffrable qu'Hamlet - ou celle de Wall Street ? A bord du navire esclavagiste, qui furent et qui sont les pires persécuteurs ? " Les Contes de la Véranda ", souvent plus proches du mythe que de l'allégorie, sont par là même inépuisables.
Edition refondue de l'ouvrage paru en 1951 sous le titre Benito Cereno et autres Contes de la Véranda
À propos de l'auteur
Biographie de Herman Melville
Ces contes si châtiés furent écrits, contre toute apparence, dans l'anxiété et la fièvre. Gravement atteint déjà par le départ au loin de Nathaniel Hawthorne, l'irremplaçable confident d'hier, Melville, assiste maintenant au naufrage de " Pierre ou Les ambiguïtés " sur les récifs de la morale puritaine.
Devra-t-il, pour faire vivre les siens, étouffer sa pensée et renier son langage. Endiguer le flot torrentiel qui a porté " Moby Dick ", puis " Pierre " en zone interdite ?
Sa pensée restera intacte. Mais une conversion s'opère chez lui pendant la genèse des Contes. Jean-Jacques Mayoux l'a formulé on ne peut mieux : " Il semble que son langage ait intégré le silence et qu'il lui donne une puissance toute nouvelle. "
Voué à la retenue du discours en même temps qu'à l'effacement personnel, il ne se veut plus l'huissier des ambiguïtés qui tissent le monde.