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Considérez le cannibalisme universel de la mer, dont toutes les créatures s'entre-dévorent, se faisant une guerre éternelle depuis que le monde a commencé.
Considérez tout ceci, puis tournez vos regards vers cette verte, douce et très solide terre : ne trouvez-vous pas une étrange analogie avec quelque chose de vous-même ? Car, de même que cet océan effrayant entoure la terre verdoyante, ainsi dans l'âme de l'homme se trouve une tahiti pleine de paix et de joie, mais cernée de toutes parts par toutes les horreurs à demi-connues de la vie.
Ne poussez pas au large de cette île, vous n'y pourriez jamais retourner.
j'ai adoré
ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/2014/06/moby-dick-herman-melville.html
extrait: Le mot de la fin : Je suis rentrée très rapidement dans l’ouvrage notamment grâce au caractère des personnages, leur singularité et l’humour qu’utilise Melville. La rencontre et l’amitié d’Ishmael et son acolyte Queequeg sont décrits avec tant d’humour et de poésie qu’elle est tout simplement irrésistible. Dans un souci d’honnêteté, je dois avouer que le côté ultra-descriptif des passages qui relèvent plus d’un ouvrage de cétologie...