Il faut beaucoup aimer les hommes - Poche

• Ironique

La plus banale histoire d'amour, couple mixte, entre ombre (Afrique) et lumière (Hollywood). Toc, illusion, amour impossible ?
Il reste le style pour le dire : les phrases, ternaires, se contractent, entre haïku et tweet. Geste golfique : backswing, swing, approche parfaite. Ou gestes rudes du bucheron (ici, "aïzkolarri") : élan, cognée, entaille précise. C'est fin, c'est net. Il faut, aussi, beaucoup aimer l'écriture de Marie D.

On aurait pu attendre mieux de Marie Darrieussecq qui avait écrit un livre très intéressant "truismes", en l’occurrence, et d'autres tout aussi beaux. On a l'impression ici que, vidée d'inspiration, l'auteur se répète. Ou alors voulait elle absolument un prix littéraire...

Le titre était prometteur... mais pour moi cela s'arrête la!
Déçu par cet ouvrage que j'ai fini mais j'ai eu beaucoup de mal.
Je ne suis jamais rentré dans l'histoire qui met du temps à démarrer et qui est ensuite très fouillie, désordonnée.
J'ai trouvé le livre long et peu intéressant.
A oublier pour moi.

• Triste
• XXIe siècle
• Crispant

Difficile de rentrer dans le livre , j'ai eut plusieurs fois envie de laisser tomber ......un début pleins de banalités , d'évidences , de clichés.......et puis il a fallu un départ à Paris pour que l'histoire s'emballe , que cette relation pesante et crispante au début du livre soit tout a coup source de curiosité ... Et alors ? L'Afrique ensuite , la chaleur, l'humidité , même les moustiques on les ressent , font du livre un parcours intéressant mais qui finalement ne nous éclaire pas plus que ça sur la relation homme noir / femme blanche ,possible ? Ou pas possible ? ...........