Je dois dire que ma lecture était moyennement bien partie pour finir en apothéose. Dominique Zehrfuss se cache derrière la petite Eugénie pour nous raconter son enfance et son adolescence difficiles dans un contexte familial violent. Son père est un architecte renommé et sa mère d’une beauté remarquable. A l’extérieur, en société, tout doit être parfait et l’enfant parfaitement éduquée mais, de retour à la maison, tout explose. Automatiquement.
J’ai horreur des narrations qui tournent au mélodrame et, pour le coup, je suis servie : l’auteur est tombée dans l’excès
inverse ! Les premières pages sont d’une précision méthodique qui a bien failli me perdre. Dominique Zehrfuss nous décrit les carcans dans lesquels elle doit vivre. On imagine que cela doit être terrible mais c’est écrit avec une distance effroyable, professionnel… comme si, aujourd’hui, elle ne portait aucun jugement sur son éducation. Mais cette violence et cette douleur explose dans les 5 (oui, j’ai compté !) dernières pages où Eugénie, devenue adolescente, prend sa vie en main. Et, pour le coup, ça fait réfléchir à la portée de nos actes.
http://lireparelora.wordpress.com/2012/06/22/peau-de-caniche/
J'ai aimé... la fin
Je dois dire que ma lecture était moyennement bien partie pour finir en apothéose. Dominique Zehrfuss se cache derrière la petite Eugénie pour nous raconter son enfance et son adolescence difficiles dans un contexte familial violent. Son père est un architecte renommé et sa mère d’une beauté remarquable. A l’extérieur, en société, tout doit être parfait et l’enfant parfaitement éduquée mais, de retour à la maison, tout explose. Automatiquement.
J’ai horreur des narrations qui tournent au mélodrame et, pour le coup, je suis servie : l’auteur est tombée dans l’excès inverse ! Les premières pages sont d’une précision méthodique qui a bien failli me perdre. Dominique Zehrfuss nous décrit les carcans dans lesquels elle doit vivre. On imagine que cela doit être terrible mais c’est écrit avec une distance effroyable, professionnel… comme si, aujourd’hui, elle ne portait aucun jugement sur son éducation. Mais cette violence et cette douleur explose dans les 5 (oui, j’ai compté !) dernières pages où Eugénie, devenue adolescente, prend sa vie en main. Et, pour le coup, ça fait réfléchir à la portée de nos actes.
http://lireparelora.wordpress.com/2012/06/22/peau-de-caniche/