Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Je n'ai écrit ce livre que pour résister à un vide, conjurer une absence dont la raison voudrait me faire croire qu'elle est illusoire. Illusoire elle...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
Je n'ai écrit ce livre que pour résister à un vide, conjurer une absence dont la raison voudrait me faire croire qu'elle est illusoire. Illusoire elle l'est en effet si la trace d'une vie sur une autre n'est rien, si ce qui fut et a cessé d'être n'a pas plus de corps (ou de matière) qu'un rêve au matin. Ceux qui ont converti l'amitié en mondanité ne savent pas quel feu, quelle espèce de feu elle suscite dans une vie attentive et combien sa perte ou son extinction peut engendrer de désespoir. Cette pierre levée revêt donc le sens d'un Tombeau, un chant grave pour garder intacte la mémoire de C. Puisque le temps est venu de dépasser les images sensibles.
Aux amoureux de René Char, de la poésie, de l'amitié.
Je n'en dirais pas plus, si ce n'est que la lecture de ce texte réclame du temps, celui de laisser les mots résonner.
C'est un texte pour les nuits d'été.
la poésie est longue
Aux amoureux de René Char, de la poésie, de l'amitié.
Je n'en dirais pas plus, si ce n'est que la lecture de ce texte réclame du temps, celui de laisser les mots résonner.
C'est un texte pour les nuits d'été.