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« Où regarder encore ? » Ainsi se termine « Je demande pardon à l'espèce qui brille », le deuxième tome des « Grands cimetières » ; par là est venu « Ma tête est forte de celle qui danse ». Hantés par un je peux qui prend feu, prend froid, creuse, s'élance, se retourne et tremble, les poèmes de ce livre se veulent à la fois soulèvement d'une langue face aux craintes ou aux voux, et mouvement qui cherche à prendre ensemble les transparences et les opacités du monde afin que tout se perde et que tout s'ouvre aux commencements.