Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Ce livre est, pour l'essentiel, une critique de la modernité - sans en exclure les sciences modernes, les arts modernes, ni même la politique moderne....
Lire la suite
" Ce livre est, pour l'essentiel, une critique de la modernité - sans en exclure les sciences modernes, les arts modernes, ni même la politique moderne. Il contient aussi les indications sur un type opposé, aussi peu moderne que possible, un type aristocratique, qui "dit oui". Dans ce sens ce livre est une école du gentilhomme, en prenant ce mot dans un sens plus intellectuel et plus radical qu'on ne l'a jamais fait. [...] Tout ce dont notre époque est fière, on le ressent ici comme opposé à ce type, et presque comme de mauvaises manières, par exemple la fameuse "objectivité ", la "sympathie pour tout ceux qui souffrent", le "sens historique ", avec sa soumission au goût des autres. On ne trouvera pas dans ce livre une seule parole indulgente... " Friedrich Nietzsche, 1888). Dans son introduction, Daniel Halévy éclaire la genèse de ce texte et évoque sa première réception, entre malveillance et indifférence. Quelques rares esprits pourtant, dont Hippolyte Taine, perçurent qu'ils étaient en présence d'une œuvre philosophique majeure.
Sommaire
Des préjugés des philosophes
L'esprit libre
L'être religieux
Maximes et interludes
Remarques sur l'histoire naturelle de la morale
Nous, les savants...
Nos vertus
Peuples et patries
Qu'est ce qui est noble ? Poème en guise d'épilogue