Dix petits contes à lire en compagnie - Album

Iwaya Sazanami

Ilya Green

(Illustrateur)

,

Marine Pénicaud

(Traducteur)

,

Valérie Rouzeau

(Traducteur)

Note moyenne 
Iwaya Sazanami - Dix petits contes à lire en compagnie.
Il y a bien longtemps, dans une contrée lointaine, vivait une veuve avec ses deux filles. L'aînée se nommait O-Yuki, Neige, et la cadette 0-Hana, Fleur...... Lire la suite
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Résumé

Il y a bien longtemps, dans une contrée lointaine, vivait une veuve avec ses deux filles. L'aînée se nommait O-Yuki, Neige, et la cadette 0-Hana, Fleur... Ainsi commence le premier de ces Dix petits contes à lire en compagnie, écrits au XIXe siècle par Iwaya Sazanami. Premier écrivain japonais à écrire spécifiquement pour la jeunesse, immensément populaire, il gagna le surnom d'Otogi no ojisan, " l'oncle aux contes merveilleux ". Alliant l'humour à une morale discrète, Sazanami met en scène des animaux, des éléments naturels ou des enfants joueurs, parfois cruels. Il mêle le fantastique et l'ordinaire dans la description d'un quotidien proche de l'imaginaire enfantin. C'est la première fois que Sazanami et ses petits contes à lire en compagnie sont traduits en français.

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À propos de l'auteur

Biographie d'Iwaya Sazanami

Iwaya Sazanami, nom de plume de Iwaya Sueo (1870-1933), fait aujourd'hui figure de précurseur dans la littérature enfantine du Japon. Premier homme de lettres à écrire spécifiquement pour ce lectorat dès le début des années 1890, il connut un succès considérable en publiant près de deux mille contes dans les revues et les collections littéraires pour la jeunesse qu'il dirigeait aux éditions Hakubunkan, jusqu'en 1917, et par ses nombreuses autres activités : conteur sur scène, créateur de matinées théâtrales pour enfants, journaliste, chroniqueur, poète de haïku, chargé de cours à l'Université de Berlin puis de Waseda (Tokyo), ou membre de plusieurs commissions gouvernementales sur les manuels scolaires. Fils de Iwaya Ichiroku, célèbre calligraphe et poète, membre du gouvernement de Meiji, le jeune Sueo fut formé très jeune à la lecture des classiques chinois et à la langue allemande, car sa famille le destinait à reprendre la charge familiale de médecin avant la restauration de l'empereur Meiji. Or, rétif à ce projet, il préfère lire les histoires populaires dans les livrets illustrés de l'époque d'Edo (1602-1868) ou dites par les femmes de son entourage et fréquente assidûment les bibliothèques. La lecture d'un recueil de contes allemands, non encore traduits en japonais, est à l'origine, dit-il, de son parcours de conteur et d'écrivain. Jeune étudiant, il rejoint dès 1887, à dix-sept ans, le premier cénacle de littérature moderne du Japon de l'ère Meiji (1868-1912), le Ken-yû-sha (les Amis de l'écritoire), auquel participent de futurs grands auteurs japonais. Sensible aux nouvelles orientations stylistiques du début de la littérature moderne au Japon, Iwaya Sazanami publie trois romans avant de se tourner définitivement vers l'écriture pour enfants après le succès du premier roman japonais pour la jeunesse, Koganemaru, qu'il publie en 1891. Il fut très vite reconnu comme un écrivain donnant à la littérature jeunesse ses lettres de noblesse. De 1908 à sa mort, en 1933, il consacra presque tout son temps à se produire lui-même dans tout le Japon et dans les proches pays étrangers lors de séances de contes, qui eurent d'emblée un immense succès. Sazanami racontait ses contes devant des publics d'enfants, qui dépassaient parfois le millier. Il se vit attribuer dès lors le surnom d'" Otogi no ojisan " (" l'oncle aux contes merveilleux ") et se produisit également devant les enfants de la famille impériale en 1916. Il fut fait chevalier de l'Ordre de Dannebrog par le roi du Danemark en 1926 pour sa contribution à la diffusion des contes occidentaux au Japon.

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