Il ne suffit pas d'être imaginatif pour être un bon auteur (je ne dis pas écrivain car Joël Dicker n'en est pas un) . Son précédent roman "la disparition de stéphanie Mailer" m'était déjà tombé des mains à la 150 ème page, trop confus, mal structuré, celui-ci n'est pas meilleur.
La raison de l'intrigue ne tient pas une seconde.
L'enquête est entrecoupée de paragraphes relatant la relation de Joël Dicker avec feu son éditeur Bernard de Fallois (qui lui savait écrire) et qui tombent comme un cheveux sur la soupe...mais bon il avait probablement un hommage à rendre.
La dialogues
sont mauvais, les tournures de phrases non travaillées, seule l'action vous fera tenir. Si vous n'avez pas lu les deux premiers "la vérité sur l'affaire Harry Quebert et le livre des Baltimore" lisez les. Ceux ci sont de qualité, mais à cette époque, Bernard de Fallois était aux côtés de son auteur !
c'est du mauvais Joël Dicker
Il ne suffit pas d'être imaginatif pour être un bon auteur (je ne dis pas écrivain car Joël Dicker n'en est pas un) . Son précédent roman "la disparition de stéphanie Mailer" m'était déjà tombé des mains à la 150 ème page, trop confus, mal structuré, celui-ci n'est pas meilleur.
La raison de l'intrigue ne tient pas une seconde.
L'enquête est entrecoupée de paragraphes relatant la relation de Joël Dicker avec feu son éditeur Bernard de Fallois (qui lui savait écrire) et qui tombent comme un cheveux sur la soupe...mais bon il avait probablement un hommage à rendre.
La dialogues sont mauvais, les tournures de phrases non travaillées, seule l'action vous fera tenir. Si vous n'avez pas lu les deux premiers "la vérité sur l'affaire Harry Quebert et le livre des Baltimore" lisez les. Ceux ci sont de qualité, mais à cette époque, Bernard de Fallois était aux côtés de son auteur !