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Notes et avis 1 à 10 sur un total de 20
Sur un exercice somme toute convenu, les auteurs livrent une série de cinq BD qui jamais ne s'essoufflent, et livrent cinq versions des mêmes évènements - la Première Guerre Mondiale en Grèce - qui nous conduisent à nous interroger sur nos points de vues, précisément... et s'offrent le luxe d'aborder des sujets savonettes (comme l'homosexualité) sans jamais se planter.
A lire !
Je viens de finir Le bleu est une couleur chaude, de Julie Maroh.
Je suis sur le cul ; je ne pensais pas qu'on pouvait parler si bien de l'homosexualité.
Quand je lis des BD comme ça (et c'est pas souvent !), ça me fait du mal, parce que je me dis qu'en tant qu'auteur, je ne pourrai jamais écrire des choses aussi belles, aussi justes.
Un grand bravo à Julie Maroh.
On ne peut pas en dire autant de toute sa production, loin s’en faut (voir ou plutôt ne pas voir le nullissime Un lieu incertain, par exemple, où elle sacrifia à la mode des vampires qui sévissait alors..) et puis ces éternelles histoires de chasseur-cueilleur finissent par exaspérer le lecteur, mais Pars vite et reviens tard est un bon polar.
Dès les premiers chapitres, Fred Vargas crée le mystère avec des événements insolites. Le suspense est au rendez-vous…
Régis Wargnier en a tiré un film qui est bien en dessous du livre.
C'était en 1983 ; le livre venait à peine de sortir en France... J'avais 24 ans.
Je l'ai lu en un week-end de quatre jours, sans pouvoir le lâcher.
J'avoue avoir sauté quelques passages trop ardus (je ne suis pas un latiniste...) Mais quelle intrigue ! Quel humanisme ! Quel livre en un mot !
Réussir une série BD sur un thème aussi savonnette – parler d’une époque, l’Occupation, au travers d’un destin entre gris clair et gris foncé d'un anti-héros – relevait de la gageure. Ils l’ont fait pourtant. Bravo à Nury et Vallée pour Il était une fois en France, à lire absolument !
Et sans doute le meilleur. Compte-tenu du fait qu’ils sont tous bons, et même très bons, celui-ci est un monument qui doit figurer dans toute bibliothèque de l’amateur de polars en BD…
J’ai eu longtemps un doute sur Corbeyran. Sa série Le chant des Stryges était plutôt bien troussée… Il déclinait ça un peu dans tous les styles, avec Le maître du jeu, etc.
Mais là… Trois séries sur une trame aussi ténue ! C’est un faiseur. Et pas toujours heureux. New Byzance, franchement avec ces musulmans qui vitriolent leurs femmes… Nauséabond.
Venetia Aldridge, une brillante avocate londonienne bien retorse est retrouvée poignardée et coiffée d'une ridicule perruque de juge...
Les suspects ne manquent pas, et le commandant Adam Dalgliesh et son adjointe Kate Miskin auront fort à faire pour dénouer les fils de cette intrigue montée de façon magistrale...
L'écriture de P.D. James est classieuse, digne d'une vraie lady !
LA : un homme meurt dans la rue... Quoi de plus banal ?
Sauf que lui se prétend le père du détective privé Elvis Cole...
Accompagné de ses fidèles acolytes, l'inénarrable Joe Pike et ses Ray-Bans et Carol Starkey, Elvis Cloe se lance dans la plus douloureuse des enquêtes...
L'homme sans passé est un polar particulièrement réussi, au rythme haletant. Elvis Cole y prend de l'épaisseur. De quoi faire taire ceux qui prétendent que Robert Crais c'est du sous-Connelly...
Notes et avis 1 à 10 sur un total de 20
Vincent Erno, un commissaire à suivre.
Un polar qui distille une atmosphère "savoyarde", une intrigue bien troussée et prenante jusqu'à la dernière page ! Philippe Paternolli mérite le détour.