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Un tout petit machin est jeté dans l'existence par un monsieur géant, peu patient et sombre, avant de le laisser là, il le nomme Alphonse Tabouret. Le dessin épuré est plein d'inventions poétiques et de drôlerie. Le texte, très malin, tendre, ressemble à un conte initiatique pour enfant. Mais c'est un questionnement philosophique profond et passionnant sur ce qu'est l'être et le but de l'existence.
Un tout petit machin est jeté dans l'existence par un monsieur géant, peu patient et sombre, avant de le laisser là, il le nomme Alphonse Tabouret. Le dessin épuré est plein d'inventions poétiques et de drôlerie. Le texte, très malin, tendre, ressemble à un conte initiatique pour enfant. Mais c'est un questionnement philosophique profond et passionnant sur ce qu'est l'être et le but de l'existence.
Depuis La Belle Mort, on attend avec impatience chaque nouvelle parution de cet auteur. Pour le voyage visuel unique qu'il nous procure, sa poésie et son humour, et les réflexions, toujours passionnantes, qu'il ouvre sur notre monde futur. Ici deux IA sont créées au fin fond de la Silicon Valley, et tout de suite la question de leur obsolescence se pose, car leur réplication à grande échelle reste un problème potentiel. En contournant cet obstacle, nous suivons nos deux IA qui deviennent au fil du temps les témoins d'un avenir possible, si loin et si proche des bouleversements que nous connaissons déjà.
Même si le scénario reste classique, une trame post-apocalyptique où les thèmes de la survie et du dépassement de soi dominent, le trait de Leman est remarquable. L'histoire reprend un peu le point de départ de la série Seuls, mais avec des touches poétiques sidérantes. La solitude des personnages et l'aventure poignante ont un rendu graphique très expressionniste. Certaines planches, en pleine page, sont comme des tableaux d'une force incroyable, la palette graphique joue avec la lumière et les ombres, un noir et blanc aux teintes sépias légères, les yeux immenses des personnages, tout cela accroche le regard.
Le scénario est très habile, on y trouve du drame, de l'humour et une pincée de romantisme. Il tisse une trame narrative classique, qui traite du rêve américain dans les années 40 et 50, sur une comédie dramatique avec un triangle amoureux doublé de l'ascension économique d'un journal masculin qui, après moult péripéties, est dirigé finalement par une femme dans un milieu très machiste. Le style graphique est vintage, il fait penser à Chaland, le trait est précis et la palette de couleurs joue sur l'ambiance des planches, la mise en page est aussi très travaillée mais sait se faire oublier et laisse place aux rebondissements divers d'une histoire qui vous happe immédiatement.
Un titre étrange et une histoire qui peu à peu vous entraîne vers une aventure loufoque et merveilleuse !? Un homme est donc assassiné et se réincarne... en slime, soit la créature la plus basique du bestiaire fantasy : dans les RPG classiques c'est en général les premières bestioles à se faire buter par des PJ niveau débutant et assoiffé d'XP facile à attraper : un blob gluant et malléable, une boule qui ne ressemble à rien. Notre « héros » est tout de même doté de deux compétences : « Prédateur », il peut récupérer les aptitudes de ses adversaires, et « Grand sage », lui donnant une compréhension affûtée de son environnement. Un manga prenant, où l'on va suivre avec plaisir l'évolution de ce personnage pour qui tout commence mal et au plus bas de l'échelle.
Superman est le héros le plus emblématique de l'univers DC. Mais ici les scénaristes imaginent que ce n'est pas au Kansas, dans la famille Kent, qu'il débarque, mais au pays de Staline.
Imaginez les conséquences...
Les romans de cet auteur sont souvent inclassable, et c'est ce qui en fait la force et le charme particulier. Cela pourrait être de la SF post-apocalyptique, un roman d'aventure, une quête initiatique propre à la fantasy... Une histoire prophétique ? Il y parle de la décadence de l'humanité, de bouleversements climatiques (le roman date de la fin des années 60), les avancées technologiques nous paraissent si familières. Je pense que c'est une bonne introduction à l'univers de cet auteur.
Une planète gigantesque, Majipoor, est le décor de ce cycle majeur de Science-Fantasy. On y suit les aventures d'un personnage singulier, quand débute l'histoire il est amnésique, hanté par des rêves qu'il ne comprend pas. Silverberg nous entraîne alors dans une série d'aventures incroyables, une découverte d'un univers d'une très grande richesse et d'une galerie de personnages bigarrés. L'aventure est aussi initiatique, une quête intérieure à la recherche de sa véritable identité.
un véritable succès au Japon
Un véritable succès au Japon , où les ventes cumulées des 5 premiers tomes dépassent le million d’exemplaires.
Une immersion totale dans l'histoire scandinave, des scènes de batailles impressionnantes, un héros charismatique et terriblement attachant.