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Bon les filles… Dieu existe ! Si. Incarné dans sa forme humaine, qu’on s’entende bien. Bah sinon, ça servirait à rien d’en parler. J’imagine déjà les mauvaises langues déverser leurs flots de commentaires acerbes : « ouais, ton Dieu, c’est un Dieu de papier ! Facile de l’imaginer réel alors que Christian, ben c’est dans les trois tomes d’un bouquin qu’il existe ! Et les bouquins, c’est pas du vrai ! ». Gna gna gna et gna gna gna. On n’lui fait pas à Elle ! Ça s’inspire de la réalité un auteur ! Ben oui. EL James, elle ne l’a pas sorti de nulle part son
beautiful Christian Grey.
Donc Dieu est humain. Si. Avec ses deux facettes. La sombre (quoi que, est-ce si sombre hein les gourmandes ?) et la délicieuse… Parfait gentleman, respectueux, à l’écoute, anticipant les (très nombreuses) attentes féminines, beau et riche (oh ça va les vipères, on s’calme !). D’abord la beauté est une chose toute relative, donc chaque gentleman a sa chance. Ensuite, riche, Elle le met en dernier. Si. Parce que finalement, c’est peut être ce qui le gâche le plus Christian. L’est trop riche le garçon. Ça gène un peu aux entournures. Trop, c’est toujours trop. D’ailleurs, Anna, par moment, elle en peut plus de son fric-qui-peut-tout-acheter-même-l’inachetable à Christian.
Nan, le plus important, c’est qu’il connaît le corps des femmes à la perfection et qu’il est capable de se remettre en question ! Et là, ça tripe grave ! On en rêve toutes de celui-là ! Et si certains mecs s’indignent de cette concurrence (parfaitement) déloyale, qu’ils LISENT ce livre. Nan parce qu’on a tous à apprendre. À tous les niveaux. Sexuel (certes) et relationnel. C’est plein d’idées à piquer (miam !) et de leçons de patience et de compassion à prendre. Parce que finalement, au-delà des (nombreux) ébats vanilles ou pimentés qui nourrissent l’imagination, Christian et Anna font un sacré chemin l’un vers l’autre. Et c’est ça l’Amour, nom de Dieu !!!!!
Osé !
Il fallait le faire : imaginer cet homme sous un autre angle et au fil des pages, lui brosser un double "humain". J'ai adoré cette façon d'aborder la question du choix, de l'opportunité à saisir pour que la vie (ici la sienne et celle de l'humanité) prenne un sens nouveau, différent. Choix auquel nous sommes constamment confrontés, tous, même si nous ne sommes pas tous de grands psychopathes devant rencontrer Freud pour guérir nos blessures profondes et prendre de bonnes décisions... Quoi que.
Merci EES !