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Bonheur Lecture n'a pas encore complété son profil
Tout d'abord, je tiens à remercier les Éditions Elidia (les Éditions du Rocher) et Netgalley pour ce partenariat.
A travers ce témoignage, nous découvrons Macha, juive résistante pendant la guerre. Nous commençons à la suivre avant son arrestation, qui a eu lieu suite à une dénonciation d'une personne qu'elle croyait être de confiance. Elle sera par la suite emprisonnée et torturée avant d'être, comme de nombreuses personnes durant cette guerre, déportée, dans ces wagons à bestiaux, direction Birkenau. Elle nous livre à cœur ouvert sa vie de prisonnière des camps, entre
peur, angoisse, résistance, détermination, son combat pour la vie, à tout prix, pendant de très longues années de « captivité » et encore tout au long de sa vie.
Tout le monde commence à connaître mon engouement et mon vif intérêt pour la Seconde Guerre Mondiale et notamment cette période des camps de concentration, d'extermination. Cette soif de savoir ce qu'il s'est passé, pour ne rien oublier...
Il m'est toujours autant difficile d'écrire une critique sur ce genre de témoignage, parce que ces gens-là on vécu l'invivable, l'enfer sur terre et tout ça, par la race dite humaine...
Je suis en admiration devant Macha, cette grande dame à mes yeux. Du début à la fin du témoignage, j'ai eu peur avec elle, j'ai eu envie de me battre avec elle. Elle a eu beaucoup de « chance » dans ce camp de la mort, de part ses activités avant sa déportation et le monde qu'elle connaissait, elle a échappé a de nombreuses sélections, elle n'a reculé devant rien, avec l'espoir au fond d'elle-même de retrouver sa fille, âgée de 5 ans lors de son arrestation.
Le dernier chapitre est écrit par Denise, fille de Macha et m'a arraché des larmes. Je ne m'y attendais pas. Très touchant, poignant. Parce que ceux qui sont ressortis vivants des camps ont mené un combat pour la vie après tout ça...
Je suis sortie bouleversée de cette lecture, de ce témoignage si poignant, si criant de vérité. Beaucoup de personnes me demandent si tous les témoignages ne sont pas « redondants » mais loin de là. A chaque fois je ressors avec de nouvelles connaissances et de nouveaux bouquins à lire pour étancher ma soif de savoir.
Je ne sais pas par où commencer cette critique sur Cinquante nuances de Grey de E L James. Peut-être par résumer les personnages et l’histoire, enfin, si on peut appeler cela une histoire.
Tout d’abord, il s’agit d’une jeune femme, prénommée Anastasia Steele, 21 ans. Cette femme, qui est alors étudiante et qui vit avec sa meilleure amie Kate, va devoir interviewer Christian Grey, un jeune homme richissime, qui va totalement dérouter Anastasia. Elle est, si je peux me le permettre, un brin schizophrène tout de même, elle entend une voix qui lui parle et elle détient une déesse
intérieure, ce qui n’est pas donné à tout le monde ! (Un peu d’humour, ça fait du bien à la fin d’une lecture de ce genre !). Elle ne connait strictement rien en amour, elle n’a jamais aimé personne. Et pourtant, c’est cet homme qui va changer le cours de son existence…
Puis il y a Christian Grey, 27 ans. Un homme richissime, malgré son jeune âge, qui aime tout contrôler et qui ne se prive de rien. Bien sûr, en plus d’être riche, il est d’une beauté à faire tomber les femmes de la terre entière et intelligent… Le vrai prince charmant jusque-là. A la lecture de ce premier tome, j’ai trouvé parfois Christian Grey ingrat, sans en connaître encore sa vraie nature. Il s’en révèle, au fur et à mesure des pages, que Christian Grey est un homme sadomasochiste, il aime dominer et donc que les femmes se soumettent entièrement à lui, ce qui ne m’a pas étonné vu la première impression que je m’étais faite de lui. Christian Grey reste mystérieux. Et c’est là que toute l’histoire va commencer…
Comme l’annonce mon début de critique, ce livre n’est pas un coup de cœur, loin de là. J’ai lu ce livre parce qu’on me la prêté, mais aussi parce que je lis beaucoup de critiques à son sujet et donc, je voulais m’en faire ma propre opinion.
Pour moi, il n’y a pas d’histoire plus banale que celle-ci. Au fond, si on enlève le sadomasochisme, il n’y a rien. C’est un livre qui se lit très vite et qui n’a rien d’une grande écriture, bien loin de là. Je trouve ce livre répétitif, barbant parfois, un peu lourd aussi, parce que si nous enlevions les scènes de sexe, il ne se passe strictement rien. Vous allez me dire que le sexe fait l’histoire… C’est vrai, c’est ce que je pense, sinon, le livre n’aurait pas lieu d’exister.
Mais en dehors de tout ça, je ne sais pas pourquoi, je le trouve prenant tout de même et je ne compte pas m’arrêter là et commencer très rapidement le deuxième tome, parce que même si j’ai un peu de mal avec le sujet, que je trouve cela parfois barbant, cela fait du bien de lire des livres simples, sans trop se prendre la tête puis je l’avoue, la personnalité de Christian donne envie d’en savoir plus, sur son passé, sur les raisons qui l’ont poussé à devenir comme ça, à aimer d’une façon sadomasochiste et non « vanille » comme il le dit.
Je sais, ma critique est complètement contradictoire, tout comme ce livre l’est au final ;-)
Témoignage poignant
Tout d'abord, je tiens à remercier les Éditions Elidia (les Éditions du Rocher) et Netgalley pour ce partenariat.
A travers ce témoignage, nous découvrons Macha, juive résistante pendant la guerre. Nous commençons à la suivre avant son arrestation, qui a eu lieu suite à une dénonciation d'une personne qu'elle croyait être de confiance. Elle sera par la suite emprisonnée et torturée avant d'être, comme de nombreuses personnes durant cette guerre, déportée, dans ces wagons à bestiaux, direction Birkenau. Elle nous livre à coeur ouvert sa vie de prisonnière des camps, entre peur, angoisse, résistance, détermination, son combat pour la vie, à tout prix, pendant de très longues années de « captivité » et encore tout au long de sa vie.
Tout le monde commence à connaître mon engouement et mon vif intérêt pour la Seconde Guerre Mondiale et notamment cette période des camps de concentration, d'extermination. Cette soif de savoir ce qu'il s'est passé, pour ne rien oublier...
Il m'est toujours autant difficile d'écrire une critique sur ce genre de témoignage, parce que ces gens-là on vécu l'invivable, l'enfer sur terre et tout ça, par la race dite humaine...
Je suis en admiration devant Macha, cette grande dame à mes yeux. du début à la fin du témoignage, j'ai eu peur avec elle, j'ai eu envie de me battre avec elle. Elle a eu beaucoup de « chance » dans ce camp de la mort, de part ses activités avant sa déportation et le monde qu'elle connaissait, elle a échappé a de nombreuses sélections, elle n'a reculé devant rien, avec l'espoir au fond d'elle-même de retrouver sa fille, âgée de 5 ans lors de son arrestation.
Le dernier chapitre est écrit par Denise, fille de Macha et m'a arraché des larmes. Je ne m'y attendais pas. Très touchant, poignant. Parce que ceux qui sont ressortis vivants des camps ont mené un combat pour la vie après tout ça...
Je suis sortie bouleversée de cette lecture, de ce témoignage si poignant, si criant de vérité. Beaucoup de personnes me demandent si tous les témoignages ne sont pas « redondants » mais loin de là. A chaque fois je ressors avec de nouvelles connaissances et de nouveaux bouquins à lire pour étancher ma soif de savoir.