Construction très décousue. La moitié du livre concerne le rôle et les positions du Vatican pendant la guerre, ce qui aurait nécessité un autre ouvrage.
Comme d'habitude, à mon avis, l'auteure (comme d'autres avant et après elle) tourne autour du pot de la responsabilité de la culture d'obéissance et de système allemande dans la pratique bureaucratique des gens ordinaires qui ont permis la réalisation des projets nazis.
Nous sommes ce que nous avons fait (Cf Sartre)
Construction très décousue. La moitié du livre concerne le rôle et les positions du Vatican pendant la guerre, ce qui aurait nécessité un autre ouvrage.
Comme d'habitude, à mon avis, l'auteure (comme d'autres avant et après elle) tourne autour du pot de la responsabilité de la culture d'obéissance et de système allemande dans la pratique bureaucratique des gens ordinaires qui ont permis la réalisation des projets nazis.