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À découvrir
Anne Sophie C n'a pas encore complété son profil
Le narrateur, un adolescent de 17 ans, nous raconte ses péripéties, ses conflits familiaux, avec l'absence de sa mère, son père qui retrouve l'amour, et sa petite soeur. Il nous décrit la vie d'une façon cynique, blasée, et nous replonge dans notre adolescence, ou du moins décrit très bien la façon dont on peut ressentir la vie et ses injustices à cet âge-là.
Certains évènements rendent le livre intéressant et je trouve la fin pleine d'espoir.
A lire surtout pour le ton, plein d'humour!!
J'avais entendu parler de ce livre au moment de la rentrée littéraire lors de l'émission La Grande Librairie, et j'ai été ravie de pouvoir le lire grâce aux Jeudis Crititiques.
Malheureusement ce livre ne m'a pas du tout plu, je pense principalement car ce n'est pas mon style, mais alors du tout.
Les Désarçonnés est le 7ème et dernier tome du Dernier Royaume.
Je n'avais jamais lu un livre de cet série, ni même aucun ouvrage de Pascal Quignard. Je ne sais donc pas si la lecture des précédents m'aurait permis de mieux apprécié Les Désarçonnés.
Comme son nom l'indique, ce livre
utilise comme prétexte la chute de cheval pour aborder un tas d'anecdotes de la vie à des époques très différentes. Il s'agit principalement d'un essai, très difficile à résumer tellement les propose sont diversifiés, et malheureusement j'ai eu du mal à saisir le fil conducteur, et donc à complètement rentrer dans le livre. Ceci étant, je ne doute pas que ce livre saura trouver son public.
En route pour l'aventure
Vincent est un homme ordinaire, qui, après avoir perdu famille et travail, se retrouve embarqué malgré lui (?) dans des aventures extraordinaires. A l'origine de tous ces bouleversements, sa rencontre avec Carell, un sacré personnage qui le trimbalera à travers la France dans des péripéties toutes plus folles les unes que les autres. A tel point que l'on se demande, si tout ça est bien réel, et si on ne va pas finir par nous dire que ce n'est qu'un canular.
A l'exception du fait que 'on a du mal parfois à vraiment y croire, le roman est dynamique rythmé et se lit très facilement.