Un seul être vous manque... Cette histoire bouleversante, narrée par le fantôme d’une femme terrifiée par l’oubli, emporte le lecteur à la dérive. Nous suivons les pérégrinations de Nathanaël, un architecte qui veut pousser son chant du cygne en construisant un nouveau Taj Mahal à la mémoire de son épouse. Comme lui, le lecteur navigue à vue, aux confins du réel, peut-être aux confins de la folie, incertain quant à la marche à suivre face à ces fantômes qui rôdent partout mais se refusent obstinément à révéler leur identité. Sont-ils même bien morts ? Le style
même de l’auteur oscille en permanence dans un mouvement de pendule, entre prose romanesque et prose poétique, jusqu’au coup de théâtre. Si la trame est sombre le message, lui, est lumineux ; car il s’agit au final d’un cri d’amour qui défie la mort.
Magnifiquement étrange
Un seul être vous manque... Cette histoire bouleversante, narrée par le fantôme d’une femme terrifiée par l’oubli, emporte le lecteur à la dérive. Nous suivons les pérégrinations de Nathanaël, un architecte qui veut pousser son chant du cygne en construisant un nouveau Taj Mahal à la mémoire de son épouse. Comme lui, le lecteur navigue à vue, aux confins du réel, peut-être aux confins de la folie, incertain quant à la marche à suivre face à ces fantômes qui rôdent partout mais se refusent obstinément à révéler leur identité. Sont-ils même bien morts ? Le style même de l’auteur oscille en permanence dans un mouvement de pendule, entre prose romanesque et prose poétique, jusqu’au coup de théâtre. Si la trame est sombre le message, lui, est lumineux ; car il s’agit au final d’un cri d’amour qui défie la mort.