Cet ouvrage d'Aurélien Berlan est consacré à rappeler ce que pourrait être la liberté pour le camp de la décroissance et de l’anticapitalisme. La liberté ce n’est pas la délivrance mais c’est l’autonomie.
Son livre est fort logiquement construit en 3 temps :
1- Expliquer la conception libérale de la liberté comme délivrance.
2- Dénoncer cette reprise de la conception libérale par le camp même de l’émancipation.
3- Car si la liberté n’est pas délivrance, c’est qu’elle est autonomie. Parce qu’il n’y a pas de liberté comme délivrance (matérielle) sans
domination comme pouvoir (politique) de faire faire.
Je ne vous cache pas que j'ai adoré cette proposition inspirante même si je considère que dans toutes ces propositions d'autosuffisance, d'autoproduction et d'ancrage local il manque cette notion macroscopique de la division du travail . Biorégionalement j'adère à cette proposition proche du communalisme à la Bookchin, macrocospiquement il manque à mon avis une institution de la classe révolutionnaire à la Friot.
En toute état de cause je vous recommande vivement la lecture de cet excellent et stimulant ouvrage.
Un elixir pour les neurones
Cet ouvrage d'Aurélien Berlan est consacré à rappeler ce que pourrait être la liberté pour le camp de la décroissance et de l’anticapitalisme. La liberté ce n’est pas la délivrance mais c’est l’autonomie.
Son livre est fort logiquement construit en 3 temps :
1- Expliquer la conception libérale de la liberté comme délivrance.
2- Dénoncer cette reprise de la conception libérale par le camp même de l’émancipation.
3- Car si la liberté n’est pas délivrance, c’est qu’elle est autonomie. Parce qu’il n’y a pas de liberté comme délivrance (matérielle) sans domination comme pouvoir (politique) de faire faire.
Je ne vous cache pas que j'ai adoré cette proposition inspirante même si je considère que dans toutes ces propositions d'autosuffisance, d'autoproduction et d'ancrage local il manque cette notion macroscopique de la division du travail . Biorégionalement j'adère à cette proposition proche du communalisme à la Bookchin, macrocospiquement il manque à mon avis une institution de la classe révolutionnaire à la Friot.
En toute état de cause je vous recommande vivement la lecture de cet excellent et stimulant ouvrage.