« Viens, on le fait... » est le tout premier que je lis de Nicolas Carteron, auteur qui m'avait été conseillé.
Prise par l'histoire, j'ai eu à cœur de le terminer à une heure où les corvées ménagères me privent généralement du plaisir de la lecture, mais il fallait que je connaisse le dénouement de cette magnifique histoire d’amour.
À une époque où les gens ne s’expriment presque plus qu’à travers des messages en style abrégé, écrits à la hâte sur un téléphone, j’ai aimé retrouver le goût des vrais échanges épistolaires à la saveur désuète.
J’ai aimé
la finesse du style, l’érotisme de certains passages, la construction originale du roman, le suspense...
Le style épistolaire est le meilleur moyen de laisser libre court à l’expression des sentiments et ceux qu’expriment Anna et William sont d’une beauté telle qu’on aimerait les faire siens.
Bravo et merci à Nicolas Carteron de nous apporter une fraîcheur qui contraste avec le monde qui nous entoure. La lecture de son roman est une « parenthèse enchantée »
Une belle romance agrémentée de suspense
« Viens, on le fait... » est le tout premier que je lis de Nicolas Carteron, auteur qui m'avait été conseillé.
Prise par l'histoire, j'ai eu à cœur de le terminer à une heure où les corvées ménagères me privent généralement du plaisir de la lecture, mais il fallait que je connaisse le dénouement de cette magnifique histoire d’amour.
À une époque où les gens ne s’expriment presque plus qu’à travers des messages en style abrégé, écrits à la hâte sur un téléphone, j’ai aimé retrouver le goût des vrais échanges épistolaires à la saveur désuète.
J’ai aimé la finesse du style, l’érotisme de certains passages, la construction originale du roman, le suspense...
Le style épistolaire est le meilleur moyen de laisser libre court à l’expression des sentiments et ceux qu’expriment Anna et William sont d’une beauté telle qu’on aimerait les faire siens.
Bravo et merci à Nicolas Carteron de nous apporter une fraîcheur qui contraste avec le monde qui nous entoure. La lecture de son roman est une « parenthèse enchantée »