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À découvrir
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Je viens de lire le 1er tome des aventures d'Oksa Pollock et j'ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture. Le monde d'Oksa avec toutes ces créatures un peu folles, les nombreux charmes et pouvoirs de ses personnages est très attachant. La vivacité, la spontanéité d'Oksa, le dévouement de son ami Gus, ne peuvent que séduire le lecteur adolescent et l'entraîner dans cette quête du monde merveilleux d'Edefia. Le lecteur adulte , lui, risque d'être un peu rebuté par le nombre de volumes. Dommage !
3e enquête du commissaire Mallock
Dans le Prologue nous assistons à l’assassinat d’un homme, Darbier, par Manuel Gemmoni, à Saint –Domingue. Manu a tout quitté, son pays, sa famille, sa femme, sa petite fille, pour aller tuer ce vieillard, cet « ogre », qu’il n’a jamais rencontré mais qu’il hait et qu’il accuse de l’avoir tué.
Le commissaire Mallock part à Saint-Domingue pour s’occuper du rapatriement du corps et enquêter sur place. Rapidement la question qui se pose est : pourquoi ? C’est à cette question que le commissaire doit trouver une réponse sur place
puis à Paris.
Tout de suite le lecteur est du côté de Manu, et souhaite qu’il s’en sorte. Le personnage de Darbier , lui, réserve des découvertes noires assez abominables.
L’intérêt du roman repose en grande partie sur le personnage de Mallock, un ours aux très grandes qualités humaines, que nous découvrons peu à peu, mais aussi un très grand enquêteur qui ne sera satisfait que lorsque tous les morceaux du puzzle auront trouvé leur place. Il est proche de Kurt Wallander, d’Adamsberg,… des plus grands.
Un très bon moment de lecture qui donne envie de suivre Mallock et de revenir sur ces deux premières enquêtes !
Conte de la vie ordinaire
Ce livre se lit d'une traite comme un conte de Maupassant : il retrace en quelques scènes la vie d'Ethan Frome, vie de labeur et de sacrifice. Trop pauvre pour partir, il travaille dur, soigne sa mère puis sa femme qu'il a épousée parce qu'elle était là. Quand il découvre l'amour, il ne peut rien choisir : il ne peut que suivre son destin. Le style d'Edith Wharton, sobre, dense, efficace, nous entraîne sans délai vers la chute.