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À découvrir
Cette biographie se lit vite, elle est écrite en gros caractères sur du papier un peu « plastifié » donc qui subit les reflets de la lumière, elle est très bien illustrée par de nombreuses photos notamment des différents avions créés par la société DASSAULT ou des photos de Marcel DASSAULT lui-même. Bref, vous l’aurez compris, ce n’est pas de la grande littérature mais, ça n’empêche pas de prendre beaucoup de plaisirs à la lire. Elle est très intéressante.
Ainsi, cet ouvrage raconte la vie de Marcel DASSAULT de sa naissance jusqu’à son entrée à l’Assemblée
Nationale, en passant par son séjour dans le camp de Buchenwald. En revanche, à aucun moment n’est cité son changement de nom, ni les raisons qui l’y ont poussé… Effectivement, il s’appelait Marcel BLOCH, ce nom raisonnait trop avec « Boch » et pouvait poser quelques problèmes au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, c’est pourquoi il a trouvé plus judicieux de changer de nom.
Cependant, il y a un point négatif à cette autobiographie, le prologue écrit par Serge DASSAULT, résume parfaitement la vie de son père, il cite tous les éléments importants de sa vie et donc de l’œuvre. On pourrait lire uniquement le prologue qui est l’équivalent d’un très bon résumé.
Cette œuvre nous permet d’en apprendre d’avantage sur Marcel DASSAULT, de découvrir l’homme « social » qui se cachait derrière le grand homme. Il a fait beaucoup pour le bien-être de ses employés (ces derniers avaient déjà des congés payés avant que ceux-ci soient instaurés en France puis, ces mêmes congés furent toujours d’une durée supérieure à celles des congés payés « classiques », et croyez moi ou non, je peux vous assurer que c’est toujours le cas…). En tant que député, il a mis en place un projet de lois permettant et/ou facilitant l’accès à la propriété pour la classe moyenne.
J’adore! Une lecture rapide, drôle, émouvante. Une « héroïne » qui nous touche et pourrait être notre voisine tellement on la sent proche de nous.
Véronique se confie à nous dans son premier roman autobiographique, elle raconte sa vie et surtout son enfance au sein d’une famille un peu particulière, effectivement ses parents sont sourds. À travers ce livre on grandit avec elle et on découvre ce que c’est pour un « entendant » d’évoluer dans ce monde silencieux, notamment par le biais de différentes anecdotes de sa vie, par exemple, elle écrit « «Salut, bande d’enculés
!» C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison. Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds. Je vais leur prouver que je dis vrai. «Salut, bande d’enculés !» Et ma mère vient m’embrasser tendrement. »
Son histoire et l’extrait que je vous ai cité, vous rappelle peut-être un film sorti en 2014, La famille Bélier. C’est normal, le scénario écrit par la fille de Guy BEDOS est inspiré de la vie de Véronique POULAIN sans pour autant la calquée totalement. Véronique a travaillée durant plusieurs années comme assistante de Guy BEDOS, c’est là qu’elle a raconté différentes anecdotes à la scénariste qui s’en est servi pour son film. Ensuite, l’éditeur de Véronique a sorti le livre avant que le film soit sur les écrans.
Je tiens ces informations de Véronique POULAIN elle-même, j’ai pu la rencontrer lors d’une des Rencontres Littéraires auxquelles j’assiste. J’ai ainsi pu faire dédicacé mon exemplaire du roman.
J’aurai volontiers écrit « Hilarant » comme sous-titre mais, je l’ai déjà utilisé pour le premier roman de Véronique POULAIN, il faut donc essayer de varier les plaisirs même si ce sous-titre colle parfaitement aux deux romans… En tout cas, j’avais vraiment hâte de lire ce nouveau roman de Véronique POULAIN.
Notre héroïne Vanessa POULEMPLOI (difficile à assumer comme nom), se retrouve à 50ans pour faire le bilan de sa vie. Elle est veuve, célibataire, sans-emploi. Elle est la Célibataire de la famille, elle l’assume quelques fois et d’autres fois, elle passe tout
son temps à essayer de se trouver un amoureux voir même un mari. Et elle recherche aussi un emploi tout en essayant de se reconvertir, elle en a un peu marre d’être l’assistante personnelle des autres. N’oublions pas d’ajouter qu’elle est en train de terminer l’écriture de son premier roman. Le tout avec de nombreux très d’humour, d’ailleurs elle le souligne elle-même, elle a tenté de créer sa « Bridget JONES ».
Encore une fois, ça ne vous fait pas penser à quelqu’un?! Et oui, Véronique POULAIN s’est un peu inspirée encore une fois de sa vie pour écrire son deuxième roman. Il ne reste plus qu’à attendre le troisième pour voir de quoi il sera question (celui-ci étant pour l’instant à l’état d’idées dans la tête de l’auteur, selon ses propres mots).
Ce tome se focalise sur Alice, durant son séjour dans l’obscur, domaine du Malin. Elle est à la recherche de la troisième lame nécessaire à Tom pour détruire le Malin, l’épée appelée Douloureuse. Alice sait très bien que cette lame sera utilisée lors du rituel dont elle fait partie, elle devra être sacrifiée pour sauver le monde.
À l’occasion de son périple dans l’obscur, Alice se remémore son passé, sa vie en tant qu’apprentie de Lizzie L’Osseuse , sa rencontre avec Tom… On en apprend ainsi d’avantage sur notre petite sorcière. Elle est accompagnée par Thorne,
une des apprenties de Grimalkin (la tueuse du camp des sorcières Malkin), celle-ci ayant été tuée, elle se retrouve dans l’obscur. Malheureusement, Alice va retrouver d’autres personnes décédées, ayant atterries dans l’obscur et ces dernières ne seront pas toutes très accueillantes.
Avec ce douzième tome, le dénouement de l’aventure de nos deux jeunes gens semble approcher. Vont-ils arriver à détruire le Malin? Alice va-t-elle devoir mourir de la main de Tom?
Bon vous vous en doutez, vu le tire et le sous-titre de mon article, j’ai laissé de côté les histoires d’amour et les comédies pour revenir à un des sujets qui m’intéresse beaucoup et depuis bien longtemps et ce même si celui-ci me fait souvent pleurer.
En Juillet 1942, Joseph a 11 ans, il vit à Paris avec ses parents et ses deux sœurs. Jusque là, rien de bien extraordinaire sauf que, Joseph est juif et il ne comprend pas ce que cela signifie « être juif ». Seulement voilà, de manière très brutale, il va apprendre que pour certaines personnes « être juif » ce n’est
pas bien.
Comme 12884 hommes, femmes et enfants, Joseph fait partie des juifs de la rafle du Vél’d’Hiv puis, il est déporté avec sa famille au camp de Beaune-la-Rolande. Ses parents et ses sœurs sont sélectionnés pour partir ailleurs, personne ne sait où, il découvrira plus tard que leur dernière destination n’est autre que Auschwitz… Peu de temps après la séparation d’avec sa famille, Joseph s’évade du camp de Beaune-la-Rolande avec un ami, Jo KOGAN. Mais, malheureusement, ils ne sont pas au bout de leur peine, loin de là.
Dans ce roman, Joseph raconte son histoire à partir de Juillet 1942 jusqu’au moment où après avoir visité le camp de Auschwitz et rencontré la très célèbre Simone VEIL, il décide de ne plus se taire et de témoigner en racontant son histoire.
Joseph WEISMANN est le seul enfant rescapé de la rafle du Vél’d’Hiv… Son histoire ainsi que celle de Anna TRAUBE (Evadée du Vél’d’Hiv, ma prochaine lecture) ont inspiré le film La Rafle. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai découvert ces deux œuvres.
Aussitôt dit, aussitôt fait!
J’ai lu d’une traite le témoignage d’Anna TRAUBE sur son évasion du Vél’d’Hiv lors de la rafle de Juillet 1942. Elle raconte comment avec l’aide d’un médecin de la Croix Rouge, d’un ingénieur des Eaux et Forêts (Gaston ROQUES), elle parvient à s’échapper du Vél’d’Hiv après y être restée quelques jours mais surtout, avant d’être déportée comme beaucoup d’autres juifs vers des camps.
Cette jeune femme de 20 ans, a su faire preuve de beaucoup de courage et d’audace pour éviter le pire à sa mère, son frère et elle-même.
Elle tient tête aux deux policiers français (un en civil, l’autre en uniforme) qui viennent l’arrêter, elle et sa famille bien-sûr. Son père étant déjà en Zone Libre et attendant leur arrivée, ce 16 Juillet, ils ne restent que Anna, sa mère et son frère dans l’appartement. Elle réussit à détourner l’attention des deux policiers pour faire échapper son frère et sa mère (qui grâce à elle ne connaitront pas « l’attente » du Vél’d’Hiv) malheureusement, elle ne réussit pas à s’échapper tout de suite. Mais, elle a su faire preuve de détermination et parvient à ses fins avant de partir dans un convoi pour un des nombreux camps. Après quelques temps à rester cacher, elle retrouve sa mère et son frère. Tous trois parviennent à rejoindre son père en Zone Libre mais non sans difficultés.
Dans ce témoignage, Anna raconte aussi sa vie d’avant et sa vie d’après la Guerre.
Comme je vous le disait dans l’article précédent, son histoire a inspirée un des personnages du film La Rafle malgré quelques différences, je trouve que l’esprit et le caractère d’Anna ressortent bien dans le jeu de l’actrice qui interprète son personnage.
J’en profite pour faire une petite parenthèse sur la maison d’édition qui publie ce témoignage, Le Manuscrit.com, qui publie plusieurs témoignages dans une collection appelée « Témoignages de la Shoah » en collaboration avec la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, dont Simone VEIL est la présidente d’honneur. Ces livres possèdent plusieurs ISBN car ils sont disponibles sous différentes formes.
Et voilà j’ai enfin eu le temps de terminer ma dernière lecture de vacances! Oui oui je sais on est au mois d’Octobre mais, j’étais un peu surbookée ces derniers temps alors ce roman est resté un bout de temps sur ma table de nuit.
Comme le titre l’indique c’est un roman en espagnol (lu par ma tante et moi-même) et une fois n’est pas coutume vu qu’il existe une traduction française, ma mère l’a lu aussi et verdict: on a adoré toutes les 3!
Même si le début est un peu long comme souvent dans les livres espagnols, on s’attache vite au personnage principal Daniel
AMAT, prof à Oxford de retour à Barcelone suite au décès « accidentel » de son père. Là-dessus, un journaliste prend contact avec lui, Bernat FLEIXA vient le voir et lui apprend que la mort de son père ne serait pas si accidentelle que ça. Va s’en suivre une enquête haletante dans le Barcelone de Mai 1888 soit quelques jours avant l’inauguration de l’Exposition Universelle. En plus, d’enquêter sur le décès de son paternel, Daniel et FLEIXA enquêtent sur une série de meurtres assez cruels et sanglants de jeunes filles issues d’un quartier défavorisé de Barcelone. Bien entendu, étant donné le milieu des victimes, ces meurtres sont vite « oubliés » par la police locale. Cependant, une vieille malédiction refait surface et accuse une espèce de monstre gigantesque d’être l’assassin. Nos deux compères vont recevoir l’aide d’un jeune étudiant en médecine Pau GILBERT, ainsi que celle de Irene une « vieille amie » de Daniel.
Les trois enquêteurs improvisés vont assez vite découvrir que ces meurtres ont un lien avec un ancien manuscrit d’anatomie qui aurait été écrit par Vésale, son huitième livre.
Pau GILBERT détient un terrible secret dont on ne se doute pas jusqu’à ce que celui-ci soit découvert. Tout comme Daniel qui se sent responsable de l’incendie qui a causé la mort de sa propre fiancée Angela (sœur ainée d’Irene) et de son frère Alex, culpabilité qui lui a fait fuir Barcelone 7 ans plus tôt…
Une enquête pleine de rebondissements qui n’est pas sans rappeler l’œuvre d’un autre auteur espagnol que j’adore, Carlos RUIZ ZAFON. Déjà rien que le prénom du personnage principal, Daniel, chez ZAFON, il s’agit d’un des personnages principaux de sa quadrilogie sur le Cimetière des Livres Oubliés (et oui, je peux dire quadrilogie puisque la sortie du 4ème et normalement dernier tome est prévue pour cette fin d’année 2016 en Espagne). Autre point commun la recherche d’un livre mystérieux que l’on retrouve aussi dans l’une des œuvres de ZAFON. Heureusement, il s’agit d’œuvres bien différentes et les deux auteurs ont quand même un style différent aussi.
Obligée d’inventer un mot pour décrire ce roman car il est croustillant et drôle! Présenté comme un journal -d’ailleurs légèrement autobiographique il s’agit peut-être de vrais extraits de journal intime- on peut lire juste quelques petites anecdotes par-ci, par-là quand on a peu de temps, ou si le soir on s’endort sur notre livre. Quoique celui-ci étant si attachant qu’on a du mal à laisser Marion -voilà un des aspects autobiographiques- et fermer notre livre pour rejoindre les bras de Morphée.
Notre personnage principale: Marion célibataire parisienne, entourée de
4 supers copines allias « Les Louves » et 2 supers potes homos, script dans le cinéma, accro du shopping et surtout désespérément à la recherche de son grand Amour…. Avec une touche d’humour à chaque anecdote et des références que toutes les filles reconnaitraient parmi 100, un exemple: vers la fin du livre, pour se remettre d’une énième rupture, une fois n’est pas coutume, Marion part en virée shopping, « Je me suis fait pleins de cadeaux de rupture, en cuir, en cachemire, en pure laine: en roues libres. Sentant la fille financièrement débridée, toutes les vendeuses me traitaient comme si j’étais Vivian avec la carte bleue d’Edward Lewis (fan de Pretty Woman, cette phrase est pour toi). » Et bien sûr, je suis fan de Pretty Woman…
Sur la quatrième de couverture, Marion MICHAU est comparée à Bridget JONES (que j’adore!) et Carrie BRADSHAW (Sex and the city, pour ceux qui ne connaissent pas) et je suis tout à fait d’accord avec ça! Pour la seconde, notre héroïne cumule les histoires de cœur et s’est une accro du shopping. Je la compare plus particulièrement à Bridget peut-être parce que j’en suis fan mais surtout, avec son côté célibataire, Miss Catastrophe, qui nous fait rire et ce, souvent malgré elle…
Bref, vous l’aurez compris: j’ai adoré!!! Je ne vous en dirai pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de cette lecture et je vous le conseille fortement!
Je suppose que vous aviez reconnu un des deux romans que j’ai reçu dans ma Box Littéraire, je n’ai pas encore attaqué la lecture de l’autre roman car j’ai eu une grosse mais alors, très très grosse préférence par un roman tout juste sorti… Harry POTTER et l’enfant maudit!!!!!
Et oui, il était temps! Si comme moi, vous êtes super fan de Harry POTTER vous deviez trépigner d’impatience ces derniers mois. Et dès sa sortie, j’ai filé chez ma libraire. Et tenez-vous bien, je l’ai lu en une journée seulement!
Bon c’est sûr, il est court, il ne fait que 341 pages mais, c’est une pièce de théâtre qu’il faut lire! Je vous rassure ça ne gâche rien, les personnages semblent plus vivants, le style de J.K. ROWLING est toujours là.
Franchement, j’ai adoré! Ce tome est plus centré sur le fils cadet de Harry POTTER, Albus Severus POTTER, qui a dû
mal à assumer le poids de l’héritage de ses deux prénoms et d’être « le fils de… ».
Dans ce tome, on découvre de nouvelles informations qui éclairent encore la trame de J.K. ROWLING et notamment grâce à quelques voyages dans le temps. Je n’en dirai pas plus sur l’histoire, je vous laisse le plaisirs de la découvrir tous seuls.
Encore une fois, J.K. ROWLING me surprend, elle a vraiment des idées extraordinaires, je me demande d’où elle tient tout ça. J.K. ROWLING serait-elle un génie de la littérature?
Je vais attaquer trois nouvelles inédites de J.K. ROWLING sur mon petit sorcier préféré. Malheureusement, ces trois nouvelles sont uniquement disponibles en e-books sur le site de Cultura. Je vous en ferai bien entendu les critiques.
Fiction et réalité pour une enquête humoristique…
L’humour un peu particulier et parfois un peu lourdingue de l’auteur, fait qu’il m’a été difficile de rentrer dans le roman, surtout que je suis une très grande fan d’Harry Potter, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi ce livre de Gordon ZOLA.
Pour une lecture de vacances, ça passe bien, pas besoin de se prendre la tête. Il y a beaucoup de références diverses: mythologiques, à Harry Potter (logique)… Les jeux de mots sont très récurrents y compris dans les noms des personnages, ces jeux de mots ne sont pas toujours compréhensibles à la première lecture. Ce roman est vraiment à prendre au second voir même au troisième degré, il ne faut pas prendre l’auteur au sérieux sans pour autant le discréditer, il est donc difficile de trouver un juste milieu.
Le roman se lit facilement, même entrecoupé, à voir ce qu’il en est du reste de la sage des Aventures de Guillaume SUITAUME, qui sont toutes des parodies.
La fin est un peu bizarre, il y a trop de choses laissées en suspend: on ne sait pas ce qu’il advient de l’assistante de SUITAUME, ni de M. HONNERY…