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"Il ne peut y avoir de décision judiciaire sans éléments sur la personnalité du mineur". Cette affirmation, toujours d'actualité, de l'ordonnance de 1945 pose la nécessité d'une collaboration étroite entre les services éducatifs et judiciaires. Mais au-delà, comment se définissent l'aide à la décision et la mesure d'investigation ? Les magistrats s'emparent-ils de ce dernier dispositif ou se contentent-ils du recueil de renseignements socioéducatifs ? Quelles sont les conséquences de ces pratiques sur les relations des professionnels avec les jeunes et leur famille et sur les écrits des professionnels ?