Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Comment circule la notion de " crise " qui émerge et se fixe dans les discours médiatiques ? Pour tenter d'éclairer cette problématique, l'angle d'analyse...
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Résumé
Comment circule la notion de " crise " qui émerge et se fixe dans les discours médiatiques ? Pour tenter d'éclairer cette problématique, l'angle d'analyse choisi a été celui de l'élaboration intellectuelle de la " crise " à travers la matérialité concrète et symbolique des médias. Nous nous sommes ainsi penchés sur les origines mêmes de la formation de l'opinion ; autrement dit, sur la naissance d'un concept idéologique contemporain. Le concept de " crise " n'existe socialement qu'en ce qu'il a pu être énoncé. Il a ainsi été réifié par les discours médiatiques qui lui ont donné une existence tangible. Et cela s'est produit à travers les faits de langage qui ont notamment pour vertu de faire accéder le non-dit ou l'informulé à la conscience, de les révéler-au sens photographique du terme. " Ecrire la crise " c'est la faire exister, lui donner une représentation effective et compréhensible. Mais c'est aussi, paradoxalement, la figer dans le bruit de toutes les interprétations possibles. C'est, à l'angoisse de l'inconnu, répondre par les bruits inaudibles et confus des possibles ou la fureur médiatique du phatique : nous sommes dans " la crise ", nous la parlons, nous l'écrivons... Nous ne cessons de la faire exister, exprimant ainsi l'angoisse de ce que nous ne parvenons pas à comprendre. Le paradoxe de cette écriture est de faire exister " la crise " tout en en permettant l'expression cathartique. Au-delà, la réflexion doit alors se diriger vers les enjeux politiques des modalités d'expression médiatiques, vers ce que Michel Foucault appelait ses " conditions externes de possibilité ".
Sommaire
LA CRISE : LES MOTS POUR LA DIRE
LA CRISE : UNE " METAPHORE VIVE ", LA DOXA DU DISCOURS EDITORIAL
LA CRISE AUX PRISES DU VERNACULAIRE : PAROLES D'INTERNAUTES