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J'avais découvert cette auteure en lisant « Tarots divins » et j'avais déjà pu apprécier sa qualité d'écriture. Là, c'est un style et un thème bien différents qu'elle nous propose, même si nous restons dans le genre fantastique que j'adore explorer.
Evangeline Rose est une Nécrocide, une tueuse de zombies si vous préférez, et pas banale. Très maladroite, la chance est là pour lui éviter le pire et à 25 ans, elle est une des rares à être encore vivante. Issues d'une lignée de femmes dotées de pouvoirs magiques, les nécrocides maintiennent l'équilibre de notre monde
en exterminant les foyers de contamination au fur et à mesure. Or, la jeune femme se retrouve soudainement enceinte. C'est une grande joie pour sa mère et sa grand-mère, car signe d'une nouvelle tueuse à venir, mais aussi une énorme prise de conscience pour Evy, qui petit à petit va s'attacher au « microbe » qu'elle a dans son ventre et va devoir le protéger car le danger approche...
Le roman est écrit sous forme de journal. Il y a donc pas mal de monologues, même si certains sont très drôles et d'autres aident à comprendre les faits passés et les rôles de chacun. J'ai eu peur la première moitié, car certains étaient un peu trop longs, mais mes doutes ont été levés ensuite, car l'histoire s'est accélérée. L'intrigue s'est bien étoffée et le suspense s'est accru jusqu'au final, me laissant sur ma faim. La suite promet d'être explosive et passionnante, comme une entrée avant le plat de résistance !
Les hommes du roman sont sexy et attachants, tout comme l'héroïne. L'humour est présent tout au long de l'histoire et Evy est vraiment un cas, il faut le dire ! Lol
En dehors d'un passage avec un petit caniche, que je n'ai pas pu lire totalement (car moi et les animaux... <3 ) j'ai trouvé l'histoire très bonne et vous la recommande !
Cocomilady
Confessions d'une tueuse de zombies
"J'espère que c'est la dernière fois qu'une infection se déroule pendant une Zombie Walk. Les civils n'ont absolument rien remarqué, bénis soient-ils. Les cris des quelques personnes mordues par le foyer ont été absorbés par ceux qui se prenaient pour des zombies. Comble de l'ironie, elles étaient même félicitées pour le réalisme de leur douleur."