Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Toulouse en 1775 est dessinée par Gilles Pin, directeur général du Canal Royal de Languedoc... Il s'attache à montrer une ville hérissée de tours...
Lire la suite
Toulouse en 1775 est dessinée par Gilles Pin, directeur général du Canal Royal de Languedoc... Il s'attache à montrer une ville hérissée de tours et de clochers - dont, curieusement, il oublie deux des principaux : les Jacobins et le Taur - et son environnement immédiat jusqu'au canal qui lui est si cher. Nous allons découvrir ces monuments qu'il numérote et dont une partie n'existe plus aujourd'hui : Le Busca, Monplaisir, l'église Saint-Michel, les tours du Palais et des chevaliers de Saint Jean, l'observatoire et l'hôtel de l'Académie des Sciences, les portes Montgaillard et Montoulieu, le couvent des carmes et celui des cordeliers, la chapelle Saint-Sauveur, les bains de la Barraquette... Pour rendre le ton de ces découvertes plus vivant nous avons cité certains de ceux qui avaient été les témoins de ces monuments ou qui les avaient étudiés en particulier. Parmi cette somme de citations reviennent très souvent celles de Pierre Barthès qui fut, à sa manière, le chroniqueur de Toulouse entre décembre 1737 et décembre 1780...