Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Vendéen à part entière, Jean Jaunâtre est un Monsieur d'un âge respectable, resté alerte et vif d'esprit. Titulaire de quatre citations dont deux...
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Livré chez vous entre le 10 octobre et le 24 octobre
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Résumé
Vendéen à part entière, Jean Jaunâtre est un Monsieur d'un âge respectable, resté alerte et vif d'esprit. Titulaire de quatre citations dont deux au titre du corps d'armée, il est saint-cyrien de la promotion " Du soldat inconnu ", 1936-1938. Après avoir servi brièvement dans l'infanterie métropolitaine, il a rejoint comme sous-lieutenant le 22e régiment de marche de Volontaires étrangers en 1939. Cette unité rattachée plus tard à la Légion étrangère rassemblait notamment nombre de républicains espagnols et de citoyens étrangers ayant choisi la France pour combattre le nazisme. Blessé très grièvement sur la Somme, il est sauvé par Fred, le célèbre joaillier de la rue Royale, légionnaire de ce même régiment. Après la guerre, Jean Jaunâtre sert contre le Vïet-minh au 2e régiment étranger dans la jungle et les rizières indochinoises pendant près de trente mois. Affecté à Paris en 1948, il rejoint le service de sécurité de la défense nationale (aujourd'hui la Direction de la protection et de la sécurité de la défense ou DPSD) qu'il quittera en même temps que l'armée, fin 1961,
après avoir fait un nouveau séjour en Indochine de 1953 à 1955, puis en Algérie de 1957 à 1961. Dans ses mémoires consacrés certes à sa jeunesse mais surtout à ses vingt-cinq ans au service de la nation, le chef de bataillon Jean Jaunâtre témoigne de son engagement militaire avec une rare précision et un grand souci de la vérité, sans omettre toutefois des appréciations personnelles sur notre époque à la lumière de son passé. Il évoque la situation difficile de l'officier de l'armée d'armistice entre 1940 et 1944. Il rappelle les durs combats en Indochine qu'il a vécus intensément avec ses légionnaires. Il
témoigne enfin de son rôle en Algérie, comme chef de la sécurité militaire du corps d'armée d'Oran de 1957 à 1961, et de sa participation à la lutte contre les activités subversives du FLN. Loyal aux institutions mais refusant de participer sur ordre à la lutte interne contre les officiers hostiles à l'indépendance de l'Algérie, il quittera l'armée à 46 ans pour une nouvelle carrière bien remplie dans les assurances.
Sommaire
Les origines de ma famille
Du certificat d'études à St-Cyr
Du régiment à la démobilisation temporaire
De l'occupation à la libération
L'Algérie et Sidi-bel-Abbès
Mon premier séjour en Indochine
Du service de sécurité de la Défense nationale et de nouveau l'Indochine
Retour au service de sécurité à Paris
Oran et les événements d'Algérie : Mes quatre dernières années dans l'armée
Paris, la famille, mes dernières réflexions en épilogue