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Saviez-vous que nous sommes génétiquement disposés à voir la vie en rose ? On est plus facilement pessimiste pour la situation économique du pays, l’avenir du monde ou l’évolution de la criminalité que pour notre situation personnelle. En effet, chaque être humain a un potentiel optimiste. C’est ce qu’affirme une science transdisciplinaire en pleine émergence, la science de l’optimisme. Si une part de cette faculté est innée, l’autre s’acquiert.
L’auteur a mené une enquête approfondie sur le levier de l’optimisme qui existe dans notre cerveau et joue un rôle déterminant dans notre façon de voir et de vivre les choses. En analysant des clichés d’IRM en action, elle explique en quoi les régions cérébrales (émotions et motivation) d’un optimiste et d’un pessimiste diffèrent et comment basculer vers l’optimisme pour changer la réalité et approcher au plus près ce dont nous rêvons.
exemples concrets pour illustrer ses théories
Elle utilise des exemples concrets pour expliquer ses théories. Langage simple, compréhensible par les non scientifique (c'était ma crainte de ne pas comprendre). Elle démontre que le cerveau nous pousse à aller de l'avant, que parfois le trop d'optimisme peut être dangereux. Le cerveau peut nous donner de fausses informations (parfois le cas pour les pilotes d'avion par exemple)....