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"La première école est une institution qui impose une histoire. Elle représente le paradigme dans lequel le réalisateur imagine et pense à notre place et où il nous est interdit de concevoir une autre histoire que celle qui est racontée. Bref, ce n'est ni plus ni moins que l'école de la soumission. La deuxième école est l'école de l'imagination et de l'inconscient. C'est l'école où nous pouvons penser ce que nous voulons et quand nous le désirons.
Elle propose un voyage au plus profond de nous-mêmes. En conclusion, c'est l'école de la liberté." Telles sont les premières phrases d'une oeuvre qui encense un nouveau cinéma qui ne demande qu'à se démocratiser. Un art dont le développement reste à faire, tant les lobbies se montrent réfractaires.