Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il n'y a de symbole que langagier ! Cette affirmation, lentement élaborée entre 1900 et 1917, reste une des principales acquisitions de la théorie...
Lire la suite
Il n'y a de symbole que langagier ! Cette affirmation, lentement élaborée entre 1900 et 1917, reste une des principales acquisitions de la théorie freudienne de cette période. Tant à travers les rêves collectifs que sont les mythes et les contes qu'à travers le rêve individuel, Freud établit le symbole comme langage. Certes, des peuples différents ont créé des mythes différents, de même des personnes différentes font des rêves différents. Mais en dépit de toutes ces variations, mythes et rêves possèdent un caractère commun : ils sont tous " écrits " en une même langue, la langue symbolique et parce qu'il est un élément du langage, le symbole parle. C'est la seule langue universelle avec sa grammaire et sa syntaxe propres, que les hommes de tous les temps et de tous les lieux aient jamais possédée en commun. Comme tel, ce langage, à l'instar du rêve et des autres productions inconscientes, tombe sous l'effet de la censure et de la déformation.
Sommaire
Les prédécesseurs du symbolisme freudien
Les premières apparitions du symbolisme freudien
La méthode freudienne d'interprétation
L'interprétation symbolique dans l'édition de 1900
Influences du symbolisme sur les éditions ultérieures