Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Préfacé par Pierre Toubert, ce volume se compose de vingt-neuf études offertes à Jean-Louis Biget par ses élèves. Au-delà de la diversité des...
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Préfacé par Pierre Toubert, ce volume se compose de vingt-neuf études offertes à Jean-Louis Biget par ses élèves. Au-delà de la diversité des approches et de la variété des thèmes envisagés, ceux-ci ont tenté d'engager une réflexion collective sur les liens qui se tissent ou se dénouent entre le fait urbain et l'institution ecclésiale à l'époque médiévale. Histoire des pouvoirs urbains et de la dissidence religieuse, sociologie historique des élites et analyse des pratiques de la ville créatrices d'identités sociales, étude de l'expression monumentale, des rituels et des représentations : les études qui composent cet ouvrage tentent, de bien des manières, d'approcher la question globale des rapports entre religion et société urbaine, dans la longue durée et à différentes échelles. Est-on en droit de parler de religion urbaine au Moyen Age ? Autrement dit, la ville, dans son cadre matériel, mais aussi dans son gouvernement, et dans les formes particulières de lien social que l'un et l'autre accueillent ou sécrètent, suscite-t-elle une modalité spécifique de religiosité ? C'est au fond la question que Jean-Louis Biget, historien de l'hérésie, du gothique méridional ou de l'insertion politique des villes dans le système féodal puis monarchique, ne cesse de se poser.
Sommaire
L'Eglise, la ville et les pouvoirs : société urbaine et orthodoxie