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Icare transposé Un fleuve, une ruine, un arbre. Il est assez de trois éléments pour rappeler la blancheur d'un été dont rien ne dissout l'aveuglante lumière. Pas même les encres brouillonnes. Lorsque la chaleur atteint son intensité la plus élevée, lorsque la vérité se fait un chemin jusqu'au coeur, le fer blanc révèle son emprise. Lorsque l'apaisement se fait, plus rien ne saurait déchirer la page.
Elle est devenue blanche : non pas de ce blanc que l'on dit d'un silence gênant, mais de cette blancheur du lieu fécond, cette épaisseur qu'un noir de jais a rendue féminine. Je ne saurais dire autrement l'écriture.