Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Des femmes grecques dansent la pyrrhique - une danse en armes constitutive de la masculinité -, des éphèbes athéniens prêtent serment en prenant...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 8 octobre et le 22 octobre
En librairie
Résumé
Des femmes grecques dansent la pyrrhique - une danse en armes constitutive de la masculinité -, des éphèbes athéniens prêtent serment en prenant à témoins tout un cortège de divinités féminines, des femmes, les Sabines, sont aux origines de la concorda romaine, et Platon demande aux femmes de la République d'assurer les fonctions de gardiennes de la cité, de magistrates et de guerrières. C'est autour de ces exemples et de bien d'autres que l'équipe de recherches " Phéacie " a décidé d'ouvrir pour le monde antique le dossier du genre, en poursuivant la réflexion menée depuis quelques années sur la question des rapports entre les sexes et la définition des rôles sexués. Ce livre offre un premier bilan des problèmes que pose l'usage de la catégorie de genre en histoire ancienne, bilan qui, à défaut de traiter tous les thèmes possibles, propose une nouvelle approche de la plupart des types de sources disponibles (épigraphiques, papyrologiques, archéologiques, littéraires). Il suggère aussi que la mise en lumière de la dynamique des identités de genre permet de lire différemment l'histoire sociale et politique, du monde antique comme des mondes contemporains.