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Le point […]. Une figure de l'impossible […]. Immense comme l'univers et minuscule comme le millième d'un grain du désert. Il ne se mesure pas. Il ne s'évalue pas. Il compte sans être identifié. Il est l'absolu de sa valeur. Il est ma seule compréhension du monde. Je l'aime à l'infini. […] Je ne souffre plus, le combat s'est arrêté. […] La gorge est serrée, ses larmes coulent. Maud est restée derrière le point.
Un – point de non-retour –, c'est un point, c'est tout, sauf à s'être laissé prendre dans les rets de la folie, cette certitude absolue qui rend maître d'un monde sans limites ni temps. Un point à partir duquel ça ne vaut plus la peine de se retourner sauf à être vivant face à la mort. C'est tout… Maud écrit, boit, fait des enfants, prend des amants, pour… ne pas mourir ou ne pas vivre ?