Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Publié en 1872, juste après Pierre de lune et le très mal-pensant Mari et Femme, Pauvre Miss Finch, introuvable dans les librairies de langue française...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Publié en 1872, juste après Pierre de lune et le très mal-pensant Mari et Femme, Pauvre Miss Finch, introuvable dans les librairies de langue française depuis un siècle et plus, révèle un Collins en grande forme, tout à la noirceur intime de son projet - mieux " hitchcockien " que jamais. Lucilla, une jeune fille du meilleur monde. aveugle depuis la petite enfance, est amoureuse d'Oscar. un brave garçon dont la beauté et les vertus se résument pour elle an son d'une voix, et à la ferveur de quelques caresses. Opérée de la cataracte. elle va recouvrer la vue... sans se douter qu'à la faveur d'un complot un autre va prendre la place d'Oscar en se faisant passer pour lui. N'en disons pas plus. Précisons seulement qu'en retrouvant l'usage de ses beaux yeux la chère enfant va découvrir tout un monde chaudement illuminé, délicieusement coloré, qui pratique à toute heure le faux-semblant, le mensonge, la trahison et ces mille et une formes de tromperie que se réservent l'un à l'autre ces êtres dits normaux qui ont la chance de se pouvoir regarder dans le blanc des yeux...
Lucilla, une jeune fille du meilleur monde, aveugle depuis la petite enfance, est amoureuse d'Oscar, un brave garçon dont la beauté et les vertus se résument pour elle au son d'une voix et à la ferveur de quelques caresses. Opérée de la cataracte, elle recouvre la vue sans se douter qu'à la faveur d'un complot, un autre prend la place d'Oscar en se faisant passer pour lui. Et la découverte du monde illuminé et coloré va aller de pair avec celle des faux-semblants, mensonges et autres trahisons que se réservent ceux qui peuvent se regarder dans le blanc des yeux... Publié en 1872, juste après Pierre de lune et le très mal-pensant Mari et Femme, Pauvre Miss Finch, révèle un Collins en grande forme, tout à la noirceur intime de son projet plus "hitchcockien" que jamais.