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De nuit les rues avec les néons comme des hyènes ressemblent à un show. Ils miment cette rupture nerveuse, endémique. Arpenter le boulevard tient du périple à cause de l'armada des bars (...). "Les écrits impurs de Marc-Antoine Graziani étant un mélange incertain de poésie, de prose et de roman - ou rien de tout cela - quelque chose qui le, broute, se dissipe, revient, repart, s'agite, se brise, nalement s'émiette et, dans la dilapidation, tricote je ne sais quelle unité bizarre qui fait, en grande partie, le prix de ces textes mal léchés et prenants".
(Michel Nuridsany)