Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Et si notre pays, riche comme jamais, au lieu de protéger ceux qui en ont vraiment besoin, s'était engouffré dans la pire des impasses ? La brutalité...
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Livré chez vous entre le 10 octobre et le 24 octobre
En librairie
Résumé
Et si notre pays, riche comme jamais, au lieu de protéger ceux qui en ont vraiment besoin, s'était engouffré dans la pire des impasses ? La brutalité américaine sans la création d'emplois, la marginalisation anglaise sans le dynamisme économique, le malaise japonais sans l'effort collectif !
Et si, aveuglés par la peur, par le chômage, par ce monde qui nous attend, nous avions choisi un système où les mauvais acquis sociaux chassent les bons ? Car notre Sécu part en lambeaux, ballotée de " plans " en mesures d'urgence. Le RMI n'insère personne. Le SMIC est trop faible pour le salarié... et trop coûteux pour l'entreprise ! et nos enfants ne toucheront pas de retraite garantie...
Pourtant, tous nos dirigeants l'ont dit, de Jacques Chirac à Martine Aubry, de Marc Blondel à François Mitterrand : " Je suis le défenseur de vos acquis sociaux. " Une petite phrase sans risques, et qui plaît à chacun... Mais ne nous ont-ils pas caché que ces mêmes acquis sociaux allaient disparaître ?
A nous d'assumer ces choix collectifs, sans fausse compassion. A nous de choisir la justice plutôt que les privilèges. Les acquis qui entraînent la croissance, contre ceux qui tuent l'emploi. Les acquis qui favorisent la responsabilité contre ceux qui s'enfoncent dans l'assistance. Mais sommes-nous prêts à repenser notre monde ?
Un livre iconoclaste sur le dernier tabou français : les acquis sociaux.