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"Première nuit d’amour, tu es pressé. Première relation un peu douloureuse, mais réussie car tu connais parfaitement les ressorts féminins. De nouveau dans la salle d’eau ensemble, aux petits soins l’un pour l’autre ; de nouveau ta main dans la mienne et nous nous endormons enlacés. Dans mes rêves, tu apparais encore. C’est la première fois qu’un homme m’envahit comme cela". La passion, aussi puissante et enivrante soit-elle, est-elle indestructible ? Peut-elle résister face à la méfiance des uns, aux mises en garde des autres ? Peut-elle défier la distance, les différences culturelles, ou encore transcender les problèmes que chacun rencontre de son côté ? Autant d’interrogations qui traversent ce roman en forme de lettre ouverte à l’amant perdu, qui, de l’embrasement initial des corps et des âmes à l’impossibilité de faire union, décrit le lent épuisement d’une relation amoureuse.
"Moncef, un été tunisien" ou l’autopsie d’un amour fulgurant et condamné, composée dans une langue tout aussi limpide et épurée.