Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Je m'appelle Jules, moi qui le suis si peu : les femmes me font peur ; je suis une nouille : j'ai peur aussi des chiens, et les chiens, qui le sentent,...
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Livré chez vous entre le 9 octobre et le 23 octobre
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Résumé
" Je m'appelle Jules, moi qui le suis si peu : les femmes me font peur ; je suis une nouille : j'ai peur aussi des chiens, et les chiens, qui le sentent, cherchent à me mordre, alors que les femmes, qui ne perçoivent rien de ma triste phobie, ont tendance à me violer d'une façon ou d'une autre. " Jules a un léger problème : s'est-il jamais remis des trucs que lui ont fourrés dans le derrière sa mère et son archaïque nounou, sous prétexte de le guérir de ses maladies d'enfant ? Jules a un problème : l'amour des femmes l'effraie plus encore que les femmes elles-mêmes. Jules a un gros problème : plus il veut fuir les femmes, plus elles le fascinent - plus il pense les détester, moins il peut s'en passer. Jules a un énorme problème : les femmes veulent sa mort, c'est sa mort qu'il cherche à séduire en séduisant les femmes. Un livre conçu comme un billard électrique où Jules rebondit de femme en femme - toutes plus différentes les unes que les autres, mais toutes comme un mal incurable dont Jules finit par jouir.
Né à Saint-Junien dans la Haute-Vienne, Daniel Depland a publié plusieurs ouvrages, dont deux romans chez Grasset : La Bête écarlate (1988) et Le Serrurier de Zagreb (1992).