Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
À Madagascar, l'art édifié par le peuple entretient une relation profonde avec la mort et la vie socioculturelle, l'affectivité, l'organisation du...
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À Madagascar, l'art édifié par le peuple entretient une relation profonde avec la mort et la vie socioculturelle, l'affectivité, l'organisation du monde
intègrent quotidiennement un lien très fort avec les razana, les ancêtres. Les mpihira gasy perpétuent depuis plus de cinq siècles une expression unique au monde, qui s'apparente au théâtre et à l'opéra. Ils véhiculent ce culte des ancêtres dans les textes de leurs chansons. Leur art est un art populaire, car tous sont paysans autant qu'artistes, autodidactes, pauvres, solidaires. Le public est d'abord composé des riziculteurs et éleveurs des campagnes malgaches, et aussi des travailleurs de l'économie informelle, des pauvres, des ouvriers des villes. Leur scène est avant tout la terre malgache, rouge sombre, au centre des rizières. Les textes des chansons ont des thèmes codifiés. Ceux-ci abordent principalement trois domaines récurrents : l'amour et les passions humaines, la philosophie de la vie et les conseils existentiels, psychologiques, relationnels ; la rébellion, la contestation des inégalités, des injustices, de la corruption et de l'inefficience, le rejet du désordre établi... La collection "Parole d'ancêtre" vous propose de découvrir un éventail de textes de l'art hira gasy, inédits en malgache et traduits pour la première fois en français.