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Devenus des incarnations physiques des saisons, ils doivent s'entretuer pour survivre. Que se passera-t-il s'ils s'unissent ? Lors d'une froide et longue nuit, Jack Sommers a été confronté à un choix : vivre pour toujours selon les anciennes règles magiques de Gaïa, ou mourir. Jack a choisi de vivre, et en échange, il est devenu un Hiver - une incarnation physique de la saison sur Terre. Chaque année, il doit chasser la Saison qui le précède.
L'Eté tue le Printemps. L'Automne tue l'Eté. L'Hiver tue l'Automne. Et le Printemps tue l'Hiver. Le tout est régi par un macabre classement qui donne droit à des promotions ou à une Annihilation totale. Mais contre toute attente, Jack tombe amoureux de Fleur, la Printemps chargée de l'éliminer. Pour être ensemble, ils vont devoir s'échapper du terrible cycle meurtrier dans lequel ils sont prisonniers.
Mais leur créateur ne les laissera pas partir si facilement... Un récit fascinant sur l'amour, la mort et l'amitié.
Je m'attendais à mieux !
Pour ne pas changer, j’ai acheté (et même précommandé) ce livre uniquement pour sa couverture et son titre, sans même savoir de quoi il parlait. Et après avoir lu le résumé, j’étais encore plus enthousiasmée.
Je m’attendais donc à quelque chose de grandiose, intense et transcendant. Un peu métaphysique et complexe, quelque chose de spectaculaire mettant en scène les saisons et leurs incarnations physiques, des personnages flamboyants et impressionnants, bref, je m’attendais à du lourd.
Au lieu de ça, l’histoire s’ouvre sur un drame adolescent, une histoire d’amour impossible entre deux jeunes gens certes immortels mais à part ça, humains de la manière la plus classique qui soit. Attachants, certes, mais… c’est tout !
Une fois l’univers et les enjeux mis en place on entre dans une phase de fuite qui va durer… jusqu’à la fin du roman. Il y a de l’action tout du long, quelques moments stressants, mais au final très peu de surprises et une intrigue très ténue. Heureusement, les personnages, malgré leur léger manque de panache à mon goût, restent suffisamment attachants pour remonter le niveau un peu faible de ce roman et en faire une lecture plutôt agréable, à défaut d’être inoubliable.