Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Jusqu'aux recherches et publications récentes consacrées aux peintres d'Alger et de l'Algérie, la connaissance de la peinture en Algérie aux 19e et...
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Jusqu'aux recherches et publications récentes consacrées aux peintres d'Alger et de l'Algérie, la connaissance de la peinture en Algérie aux 19e et 20e siècles portait essentiellement sur les orientalistes et, pour une moindre part, sur les " Abd-el-Tif ", pensionnaires de la villa Médicis algéroise ouverte aux artistes métropolitains en 1907. La diversité d'une multitude de peintres, français et européens, voyageurs en villégiature ou futurs résidents définitivement conquis, est pour beaucoup une découverte. Au fur et à mesure de cette découverte, un autre étonnement attend les familiers des collections de peinture du Musée de la Castre, la proximité des peintres d'Alger et de ceux de la Riviera. En regardant les toiles des peintres de la Riviera et celles des peintres d'Alger (qui, quelques fois, ont été les mêmes), une sensation affleure, la perception à travers lumière, forme et atmosphère, de l'appartenance des deux rivages face-à-face et si proches au même milieu de la Méditerranéen. Proche aussi et parallèle, l'évolution du regard des peintres, de leurs centres d'intérêt, du choix des sujets. Dans le cadre de " Djazaïr, une année de l'Algérie en France ", le Musée de la Castre était le lieu rêvé pour accueillir les peintres d'Alger et de la Méditerranée.