Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pourquoi la Grèce antique, si éloignée de nous dans le temps, est-elle considérée comme le berceau de notre civilisation européenne ? Elle ne connaissait...
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Pourquoi la Grèce antique, si éloignée de nous dans le temps, est-elle considérée comme le berceau de notre civilisation européenne ? Elle ne connaissait pourtant ni le moteur à explosion ni l'électricité, ni le téléphone ni la télévision, ni les antibiotiques ni la pilule... Mais elle avait inventé la philosophie. Vingt-cinq siècles avant nous, une poignée d'hommes ont affronté toutes les questions métaphysiques, morales et politiques, que nous nous posons aujourd'hui : sommes-nous soumis à la fatalité ? Comment faire pour être heureux ? Faut-il avoir peur de la mort ? Qu'est-ce que la mort ? Qu'est-ce que la justice ? La démocratie est-elle supérieure au collectivisme ? Les femmes doivent-elles avoir les mêmes droits que les hommes ? On trouvera dans ce livre une présentation claire, accessible des idées des grands philosophes. De Diogène le Cynique à Aristote, et du dernier entretien de Socrate le Sage avec ses disciples aux grands mythes platoniciens, l'auteur nous aide à découvrir un des grands moments de la pensée humaine. Il nous propose aussi, non sans humour, de mieux connaître la vie de, ces curieux individus que furent les philosophes. Il nous les montre dans leurs cités, seuls ou avec leurs élèves, conseillers des princes ou condamnés par les tribunaux, tantôt sombres et tantôt optimistes, mais toujours naturels et illustrant cette pensée de Pascal : " On ne s'imagine Platon et Aristote qu'avec de grandes robes de pédants. C'étaient des gens honnêtes et comme les autres, riant avec leurs amis... "