Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans son "laboratoire cosmopoétique " sur la côte armoricaine, Kenneth White s'entretient, à travers l'espace et le temps, avec des figures du monde...
Lire la suite
Dans son "laboratoire cosmopoétique " sur la côte armoricaine, Kenneth White s'entretient, à travers l'espace et le temps, avec des figures du monde entier. L'espace et le temps, avec des figures du monde entier. Mais un de ses interlocuteurs préférés reste le poète pérégrinant d'origine bretonne, Victor Segalen. White s'entretient avec Segalen de la même manière que Segalen s'entretenait avec Rimbaud. Du dialogue naît ainsi un trialogue, où il est question de science, de philosophie, de poésie - toutes, poussées jusqu'à leurs limites. A ces limites se dessine une nouvelle contrée, un monde qui dépasse les pays. Avec ces trois essais ici rassemblés - L'itinéraire de Victor Segalen, les finisterres de l'esprit et La voix du désert -, Kenneth White balise son propre itinéraire et définit sa propre poétique, tout en offrant une nouvelle approche de la géopoétique.