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Jour après jour, Népomucène étouffe dans un monde où il ne se reconnaît pas. Ne supportant plus les lois dictées par la société bicéphale, le jeune homme est au bord de la suffocation. Chaque nuit, c’est le même rituel : de terribles migraines s’emparent de lui, expulsant leur violence à travers sa plume qui noircit le papier à toute allure. Mais un soir, le mot « FIN » vient mettre un terme à ces élans nocturnes.
Et lorsque sa mère lui offre « un jeu » dont la règle est de parvenir à créer un monde, à l’instar de Gaïa, Népomucène voit lentement « les libres penseurs, les poètes et les couleurs » auxquels il aspire prendre forme… Ce quatrième tome offre un nouvel élan au cycle de Gaïa. Du début à la fin, on suit avec ferveur la révolution montante à laquelle le si attachant personnage de Népomucène se laisse aller.
De la science-fiction au clin d’œil sociologique, il n’y a ici qu’un pas. Une belle réussite !