Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
"Lapérouse était un marin généreux et un navigateur passionné. Avec lui, la France inaugure l'ère de la navigation scientifique, une ère nouvelle...
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"Lapérouse était un marin généreux et un navigateur passionné. Avec lui, la France inaugure l'ère de la navigation scientifique, une ère nouvelle de l'exploration où l'étude scientifique de l'humanité prend le pas sur les profits matériels, une ère où les navigateurs n'ont pour objet, en décrivant les mœurs des peuples nouveaux, que de compléter l'histoire de l'homme. A tous de savoir apprécier cet héritage exemplaire et de permettre, en écrivant le dernier chapitre de cette expédition brutalement interrompue, de mieux faire connaître la richesse de ce passé maritime dont la France peut légitimement être fière." Madame Michèle Alliot-Marie, Ministre de la Défense Extrait du discours prononcé à l'occasion de la conférence de presse du lancement officiel de l'expédition Vanikoro 2005 (22 mars 2005). Après les aventures de Jean-Baptiste Barthélémy de Lesseps à travers la Sibérie (Le messager de Lapérouse, 2004), complétées par l'enquête et la découverte par Peter Dillon du lieu du naufrage de l'expédition Lapérouse (A la recherche de Lapérouse, 2005), c'est tout simplement par le récit de cette navigation légendaire que nous terminons la trilogie. Seul de Lesseps, unique survivant de l'expédition, pouvait condenser et compléter ce texte de façon utile ; c'est cette version que nous vous proposons maintenant. A l'heure où les dernières recherches sur le site des naufrages à Vanikoro nous apprennent toujours plus sur cette tragique expédition, il est indispensable de reprendre le voyage à son origine : Brest, le 1er août 1785.