Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le suaire de Turin n'a cessé d'alimenter les polémiques. Linceul authentique du Christ ou faux utilisé pour alimenter la foi populaire ? La question...
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Le suaire de Turin n'a cessé d'alimenter les polémiques. Linceul authentique du Christ ou faux utilisé pour alimenter la foi populaire ? La question a paru réglée lorsqu'en 1988 une étude au carbone 14 du tissu a fait apparaître que le linceul ne datait pas de deux mille ans, mais tout au plus du début du XIVe siècle.
Cette datation ne dissipe cependant pas tous les mystères entourant la précieuse relique. Elle ne dit pas qui a fabriqué le suaire, ni pourquoi. Elle n'explique pas non plus pourquoi la face avant du suaire présente une image plus courte de quatre centimètres que celle de la face arrière. Docteur en anthropologie à l'université de Durham, passionné par l'histoire des premiers jours du christianisme, Keith Laidler a donc poursuivi l'enquête là où la science s'est arrêtée.
Décryptant sans relâche la Bible, les Evangiles apocryphes, les documents relatifs à l'ordre du Temple, et se penchant sur les énigmes traditionnelles que constituent la chapelle de Rosslyn et la confrérie secrète du Prieuré de Sion, Keith Laidler est arrivé à une conclusion révolutionnaire : l'image du suaire a été fabriquée à l'aide d'un procédé qui s'apparente à la photographie ; par ailleurs, l'empreinte de la tête proviendrait d'une relique vénérée par les nazaréens jusqu'à la chute du Temple de Salomon, et retrouvée par les templiers dans les tout premiers temps de la fondation de l'ordre - pour la vénérer à leur tour sous le nom de Baphomet.
Si le suaire de Turin est un faux, il n'en révèlerait pas moins le vrai visage du Christ !