Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Voici, sans conteste, un des monuments de la philosophie en terre d'islam : le chef-d'œuvre de Sohravardî, mort à Alep, à l'âge de trente-six ans,...
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Voici, sans conteste, un des monuments de la philosophie en terre d'islam : le chef-d'œuvre de Sohravardî, mort à Alep, à l'âge de trente-six ans, victime de l'intolérance, en 587/1191. Il exprime une expérience extatique de Dieu, " Lumière des Lumières ", dévoile dans l'univers sensible les multiples miroirs des intelligences et des Âmes. Il ressuscite la sagesse de l'Iran zoroastrien et, fidèle au platonisme, fonde en métaphysique le sentiment gnostique de la vie : la Ténèbre, les substances qui " portent en elles nuit et mort " s'opposent aux Lumières angéliques. Cette philosophie dramatique de l'existence s'achève en un magnifique chant de l'âme, en l'une des plus puissantes théories de la béatitude. Le lecteur trouvera ici, en outre, les deux commentaires qu'en ont fait Qotboddîn Shîrâzî (VIIe/XIIIe s.) et Mollâ Sadrâ Shîrâzî (XIe/XVlle s.), lui-même le plus grand philosophe du shî'isme iranien.