Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
C'est en 1964, que l'Armée de l'Air exprime le besoin d'un avion bimoteur d'entraînement avancé ayant pour mission secondaire l'appui-feu léger. Le...
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C'est en 1964, que l'Armée de l'Air exprime le besoin d'un avion bimoteur d'entraînement avancé ayant pour mission secondaire l'appui-feu léger. Le programme " ECAT ", (Ecole de Combat et Appui Tactique) est lancé, avec en ligne de mire le remplacement des Fouga Magister, T-33 et autres Mystère IV. Le même avion doit pouvoir se décliner en biplace d'entraînement avancé ou en monoplace d'appui tactique et l'achat de 150 appareils est prévu (75 dans chaque version). On évoque alors la livraison en unité des quarante premiers exemplaires avant 1970. Cinq avionneurs sont sur les rangs : Sud Aviation, Nord Aviation, Potez, Dassault et Breguet. Le projet Breguet est le plus léger, le plus petit et a priori le moins coûteux. Il est annoncé vainqueur le 15 janvier 1964. A la même époque, la Grande-Bretagne exprime un besoin similaire pour équiper la Royal Air Force. La British Aircrafl Corporation (BAC) est alors invitée à coopérer avec Breguet. Le 17 mai 1965, un accord de coopération franco-britannique scelle l'avenir du Br.121 qui devient dans la foulée (officiellement le 10 juin 1965) le " Jaguar ", nom commun aux deux langues.