Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Paris est la ville artiste et poète par excellence ; mais les plus grands artistes et les plus grands poètes de Paris, ce sont les Parisiennes. Pourquoi...
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" Paris est la ville artiste et poète par excellence ; mais les plus grands artistes et les plus grands poètes de Paris, ce sont les Parisiennes. Pourquoi ? Parce que [...] les Parisiennes imaginent, achèvent, complètent à chaque instant une œuvre réelle et vivante, car elles se créent elles-mêmes ".
Théodore de Banville (1823-1891) n'est pas seulement le poète parnassien, à l'esthétique éthérée et désuète, quelque peu oublié... Ami de Baudelaire et héritier de son dandysme, celui qui aimait à ciseler ses mots savait aussi user d'humour, voire d'ironie. À l'élégante Parisienne, il ne se contente pas de déclarer sa flamme lyrique ; il lui décoche une flèche et, derrière " le charme attirant et mystérieux ", pointe " une absence complète de pensée ". Une anthologie de huit textes en prose, tirés de Contes pour les femmes.