J'ai terminé le roman de Rebecca Greenberg depuis deux jours déjà et je ne sais toujours pas comment entamer mon Ressenti…
Tant pis, je me lance !
Le premier roman de Rebecca est MA-GNI-FIQUE, impressionnant, addictif, tellement réaliste !!!
Quel travail remarquable, documenté, réfléchi, quelle sensibilité, des personnages que je ne suis pas près d'oublier, j'entendais de la musique durant ma lecture, le violon, le piano, les mots qui s'écoulaient dans un rythme tantôt en douceur, tantôt avec violence, la beauté des âmes pures, la peur, les cris, les larmes, la laideur des
autres, la haine, la jalousie. Rebecca m'a comblé en tant que lecteur, m'a envoûté en tant qu'homme. Plusieurs fois, j'ai dû stopper ma lecture, fermer les yeux étant dans l'incapacité d'aller plus loin, d'appréhender les abominations, les cruautés qui risquaient de retomber à chaque moment, à chaque page, mais malgré son récit si dur et bouleversant, il n'y a jamais jugement, ni pathos. La lecture est très agréable, fluide, j'étais complètement transporté par la plume de l'auteure. Certains lecteurs auront peut-être l'impression de lire un roman de type ”fantastique”. Pas moi. La réalité de ce phénomène, pour moi, ne fait aucun doute…
Dès le début du récit, nous suivons deux histoires qui se passent à deux périodes différentes. Nous sommes en 2011, où Tom est plongé dans un coma suite à un accident, ou en 1940, avec Simon, jeune juif qui subit la Seconde Guerre mondiale de plein fouet. Nous allons alterner ainsi d'une époque à l'autre par le biais de la décorporation, un sujet qui me plaît tout particulièrement. Tom, finalement, va sortir du coma avec un don qu'il va apprivoiser jour après jour. Mais est-ce vraiment un don ou malédiction ?
Il lui faudra plusieurs années pour le maîtriser et comprendre pourquoi il est sorti vivant du coma.
Rebecca m'a touché au plus profond de mon âme, j'aimerais tellement connaître les morceaux qu'elle avait en tête en écrivant son roman.
Durant ma “vie de lecteur” certains romans m'ont marqué. “Le Fil d'Argent” fait définitivement partie de ceux qui se trouvent en haut de la pile !
Merci pour ce voyage magnifique… Pour ne jamais oublier. Très gros coup de cœur.
J'ai terminé le roman de Rebecca Greenberg depuis deux jours déjà et je ne sais toujours pas comment entamer mon Ressenti…
Tant pis, je me lance !
Le premier roman de Rebecca est MA-GNI-FIQUE, impressionnant, addictif, tellement réaliste !!!
Quel travail remarquable, documenté, réfléchi, quelle sensibilité, des personnages que je ne suis pas près d'oublier, j'entendais de la musique durant ma lecture, le violon, le piano, les mots qui s'écoulaient dans un rythme tantôt en douceur, tantôt avec violence, la beauté des âmes pures, la peur, les cris, les larmes, la laideur des autres, la haine, la jalousie. Rebecca m'a comblé en tant que lecteur, m'a envoûté en tant qu'homme. Plusieurs fois, j'ai dû stopper ma lecture, fermer les yeux étant dans l'incapacité d'aller plus loin, d'appréhender les abominations, les cruautés qui risquaient de retomber à chaque moment, à chaque page, mais malgré son récit si dur et bouleversant, il n'y a jamais jugement, ni pathos. La lecture est très agréable, fluide, j'étais complètement transporté par la plume de l'auteure. Certains lecteurs auront peut-être l'impression de lire un roman de type ”fantastique”. Pas moi. La réalité de ce phénomène, pour moi, ne fait aucun doute…
Dès le début du récit, nous suivons deux histoires qui se passent à deux périodes différentes. Nous sommes en 2011, où Tom est plongé dans un coma suite à un accident, ou en 1940, avec Simon, jeune juif qui subit la Seconde Guerre mondiale de plein fouet. Nous allons alterner ainsi d'une époque à l'autre par le biais de la décorporation, un sujet qui me plaît tout particulièrement. Tom, finalement, va sortir du coma avec un don qu'il va apprivoiser jour après jour. Mais est-ce vraiment un don ou malédiction ?
Il lui faudra plusieurs années pour le maîtriser et comprendre pourquoi il est sorti vivant du coma.
Rebecca m'a touché au plus profond de mon âme, j'aimerais tellement connaître les morceaux qu'elle avait en tête en écrivant son roman.
Durant ma “vie de lecteur” certains romans m'ont marqué. “Le Fil d'Argent” fait définitivement partie de ceux qui se trouvent en haut de la pile !