Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Né en 1821 à Beaune, Félix Ziem a constitué jusqu'à sa mort en 1911 une véritable mémoire de sa vie entre réel et fiction. Ses voyages en Russie,...
Lire la suite
Né en 1821 à Beaune, Félix Ziem a constitué jusqu'à sa mort en 1911 une véritable mémoire de sa vie entre réel et fiction. Ses voyages en Russie, en Hollande, en Orient, en Méditerranée, se mêlent à d'incessantes allées et venues dans le Midi, sur la Riviera, à Venise, Barbizon, Paris... Ces déplacements s'apparentent à la production de peintures, esquisses, dessins, carnets, photographies, et l'amènent à l'écriture de son Journal : je commence à écrire afin de pouvoir m'édifier sur ma peinture et masser mes idées, détruire mes perplexités et suivre une marche réglée et absolue... (27 novembre 1854). Première monographie biographique et synthétique consacrée à Félix Ziem, cette publication porte sur l'œuvre un regard libéré des usages et des réflexes de ses contemporains. Dans Tracés de ciels : percés par l'écume, Frédérique Verlinden enracine l'élan du peintre au revers des flux et des reflux de son époque. Gérard Fabre encre le chemin vers Ziem dans La traversée d'un siècle et Luca Marchetti plaide pour lé ralliement des générations dans Une lecture déréglée. Entre abandons et arrivées, la peinture délivre des mirages. Indispensable complément de l'édition papier illustrée par 160 reproductions en couleurs d'œuvres choisies, de pages manuscrites et de documents d'archives, un catalogue électronique complet sur CD-Rom vous est offert. Il comprend l'ensemble du fonds Félix Ziem du musée de Martigues, soit près de 4 000 peintures, œuvres graphiques et carnets.